La nouvelle place

Le balado Les écrans est de retour pour l’automne!

Je vous propose un épisode qui s’intéresse à l’avenir de la radio, et plus globalement à celui du monde de l’audio.

Au début de l’été, le Pôle Médias HEC Montréal a publié les résultats d’une vaste étude sur la radio, initiée par la RAI, le diffuseur public italien, et menée par plusieurs chercheurs universitaires de la Sorbonne, de Sienne, de Rome et ici au Québec par Sylvain Lafrance, le directeur du Pôle médias HEC et Louise Hélène Paquette, chercheure associée au Pôle Médias HEC, professeure et consultante.

Tout ce beau monde s’est rallié autour d’une question de départ : comment assurer la pérennité de l’industrie de la radio dans un monde de l’audio qui se transforme à vitesse grand V?

Pour nous en parler, je reçois le directeur du Pôle Médias HEC, Sylvain Lafrance.

==========
MERCI À NOTRE PARTENAIRE
Améliorer la qualité de la gestion des médias au Canada et dans le monde, c’est la mission première du Pôle médias HEC Montréal, qui est partenaire de cet épisode du balado Les écrans.
==========


LES LIENS

Creators & Guests

Host
Steve Proulx
Journaliste, baladiste, auteur, président de l'agence de contenu 37e AVENUE.
Guest
Sylvain Lafrance
Directeur, Pôle Médias HEC Montréal

What is La nouvelle place?

Les GAFAM sont là pour rester. Mais leur modèle d’affaires capitaliste est inadapté au rôle central qu’ils jouent dans nos vies, notre économie et notre démocratie.

Pour une nouvelle place publique
Prenons les médias sociaux, devenus les places publiques du XXIe siècle. Nous méritons certainement mieux que ces machines mercantiles de captage de données personnelles pour échanger avec nos proches, s'informer, apprendre, se divertir.
Et pourquoi pas un média social axé sur le bien commun, qui refuserait d’enfermer la population dans des algorithmes opaques qui polarisent comme jamais nos sociétés?
Ce balado veut imaginer cette « nouvelle place ». Dans chaque épisode, l'animateur Steve Proulx suivra les initiatives en cours au Québec et ailleurs pour créer des environnements sociaux numériques plus sains. Des environnements qui, un jour peut-être, rendront obsolètes les pièges à monétiser l’attention créés par les géants numériques.