Trois mots ont suffi. En lançant que « rien n’était exclu » pour empêcher Poutine de l’emporter en Ukraine, Emmanuel Macron a su faire entendre que nous étions bel et bien en guerre puisque l’autocrate russe nous l’avait déclarée, qu’une défaite de l’Ukraine mettrait toute l’Union en danger, que nous pourrions avoir à nous battre sans les Etats-Unis si Trump était élu en novembre et que le seul moyen de ne pas avoir à envoyer un jour nos enfants sur un champ de bataille était d’immédiatement fournir assez d’armes aux Ukrainiens pour repousser l’agression.
Sur les plateaux de télévision comme au resto du coin, on ne parle plus que de cela. Les uns approuvent, d’autres s’indignent, mais un même débat politique, passionné, furieux, fait de l’Union une seule et même scène politique sur laquelle reviennent sans cesse trois questions principales...
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