Public SaaS Builders

Dans cet épisode, nous plongeons dans les coulisses de notre transition du model Agence vers le model SaaS Studio. Toujours en mode #BuildingInPublic, nous partageons sans filtre nos expériences, les défis rencontrés, et les ajustements nécessaires. Cet épisode est un véritable manuel pour les fondateurs de SaaS et les indie builders qui cherchent à comprendre à quoi ressemble une journée d'entrepreneur.

Points Clés :
  • Défi du pivot : Comment nous avons jonglé entre les services et le développement de produits SaaS.
  • Réorganisation interne : L'introduction d'une offre de design illimité et la diversification des sources de revenus.
  • Imprévu majeur : Un impayé important a sérieusement affecté notre trésorerie, nous forçant à ajuster notre stratégie pour éviter la catastrophe.
  • Processus et efficacité : Leçons tirées de l'optimisation des processus internes pour mieux gérer la charge de travail.

Malgré les défis, y compris un impayé significatif qui aurait pu mettre en péril notre entreprise, nous avons maintenu le cap avec des mises en production continues et l'introduction de nouvelles offres. Nous restructurons notre approche pour être moins dépendants des revenus de services, visant un modèle plus stable et scalable.

Merci pour votre écoute et heureux de vous retrouver ici 🫶

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Le "portfolio" de notre Product Studio ⚡️ :
  • SaaS #1 : SteelSync.io
  • SaaS #2 : Welcomessage.io
  • SaaS #3 : Groowth.io
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What is Public SaaS Builders?

🍿Bienvenue sur Public SaaS Builders, le podcast où l'on partage toute notre aventure en mode #BuildingInPublic ! Nous lançons un Product Studio qui conçoit des SaaS. Chaque mois, on sort un nouveau produit et on documente chaque étape, des succès aux galères.
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🤩 Pourquoi nous écouter ?
Pas de bullshit, pas de success stories édulcorées. Ici, on parle Tech, Design, Product, Growth, Marketing et Mindset, sans détour. On partage tout : les hacks qui marchent, ceux qui foirent, et les leçons apprises en cours de route.
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💰Ce que vous trouverez chez nous :
- Insights Tech et Design : Tout ce qu'il faut savoir pour construire des produits qui déchirent.
- Stratégies de Growth et Marketing : Les trucs et astuces pour faire décoller votre SaaS.
- Mindset et Hacks : Comment rester motivé et trouver des solutions créatives aux problèmes.
Et surtout de la bienveillance car on apprend en même temps que vous 🥰
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🤔Pour qui ?
- Les fondateurs de SaaS et les indie builders
- Ceux qui bootstrap et veulent tout apprendre par eux-mêmes
- Les curieux de l'univers des startups et du développement produit
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🕉️ Notre mantra : Ship Fast, Fail Fast. On est là pour tester, apprendre et partager avec vous en toute transparence. Si vous cherchez des discussions sincères et des conseils pratiques pour faire grandir votre SaaS, vous êtes au bon endroit.
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🤝 Participez à l'aventure :
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- Laissez-nous un avis et 5 étoiles ⭐⭐⭐⭐⭐ sur votre plateforme préférée
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On est impatients de partager cette aventure avec vous ! 🙌
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#SaaS #BuildingInPublic #ProductManagement #GrowthHacking #IndieHacker #ProductStudio #SaaSStudio #Tech #Design

François:

Bienvenue dans Public sas Builders, le podcast qui partage en temps réel notre quotidien de quatre entrepreneurs qui chipent des sas. Je m'appelle François Delporte et je suis l'un des quatre builders. Le but de ce podcast est simple, On sait pas si on va réussir, donc on n'a pas de recette magique pour vous. Par contre, on sait qu'on ship et ça, on peut vous le raconter sans détour ni artifice. Épisode par épisode, on vous partage ce qu'on fait, nos techniques et les résultats surtout.

François:

Ce podcast est né de la volonté d'arrêter de raconter une réussite une fois qu'elle a eu lieu et se concentrer plutôt sur l'exécution au quotidien. Notre mantra, Ship fast, Fail fast. Allez, bonne écoute.

François:

Bon en tout cas trop content de vous retrouver. Déjà on va se faire un petit tour de table comment va tout le monde, il s'est passé pas mal de choses depuis la dernière fois qu'on a discuté. On verra si on met l'épisode sur les objectifs du offside, mais en tout cas là on va revenir sur qu'est-ce qui s'est passé entre la fin du dernier offside mi-février et le début de ce nouveau offside qui est autour du dix juin. Mais déjà un petit tour de table, Ludo, comment ça va toi

Ludovic:

Ouais, c'est cool, c'est nickel. Je suis content de passer à l'été déjà sur le site, c'était les Vosges.

François:

C'est vrai que

Ludovic:

Un chalet, c'est ça caillait. Tu vois,

François:

après on n'était pas sorti, donc qu'importe la météo.

Ludovic:

L'ambiance était différente à raclette et tout ça. Du coup ça va.

Umut:

On a

Ludovic:

eu pas mal de boulot ces dernières dernières semaines et là je pense que c'est l'occasion de te remettre tout à plat, de réfléchir la suite, voir nos objectifs. On en a parlé hier. Mais non, ça va.

François:

Ça tient, tu tiens le coup parce que tu as, on a eu deux mises en prod en parallèle et ça a été tourné.

Guillaume:

Ouais il y

Ludovic:

avait du boulot maintenant ça va.

François:

Sur la partie service, on a pris des, on a pris tarif, mais on y reviendra et pourquoi on, pourquoi on a pris tarif. Guy, comment ça se passe toi

Guillaume:

Ça va. Moi, je trouve que l'autre offside, c'était un peu mieux.

Umut:

Pourquoi

Guillaume:

Là, ça va être très dur de bosser.

Umut:

Avec ce qu'il y a derrière toi.

Guillaume:

Là le soleil moi c'est vacances. Non mais non ça va c'est cool content de de passer à l'été fini le chapitre mise en prod des services donc là on attaque un nouveau chapitre en plus avec le soleil là, donc très

François:

content. Et juste en intro de la Thaïlande bientôt.

Guillaume:

Voilà juste avant deux semaines en Thaïlande donc.

Ludovic:

C'est quand

François:

tes dernières vacances

Guillaume:

Bon je sais pas. Il y a deux ans. Moi sept mois. Ouais. Ça

Ludovic:

va, ça va.

François:

Ouais ça va. Bon et toi les ben

Umut:

Écoute, ça va franchement, je suis chaud. Il s'est passé des milliards de trucs, j'ai l'impression depuis le dernier offsite, mais ouais, je préfère quand même ici. Je sais que c'est quand même un peu mieux parce que c'est sympa les chalets, les les les raclettes, mais bon, ça va cinq minutes quoi. On s'y

Ludovic:

fait ici.

Umut:

Ouais, en vrai, c'est sympa. Mais comme dit, comme dit Guy, je pense que tu as tu as du mal à te, à commencer à

Guillaume:

startup bosser. Personne ne veut bosser. Tu vois, tu

Umut:

vois la piscine, tu dis bon allez, attends, on va se piquer une petite tête.

François:

C'est rapide.

Umut:

Et en fait, il est quatorze heures, tu vois.

Guillaume:

On a

Umut:

perdu 6 heures, donc je préfère quand même être être ici ouais ouais clairement.

François:

Ouais c'est un un autre un autre truc et surtout en termes de rythme, on y reviendra dans l'épisode juste après, mais on on va être sur un rythme un peu différent du dernier où on faisait plein de trucs en parallèle, où là on va être assez concentré sur le podcast, on va lancer YouTube aussi et du coup faire un sas dans la semaine, mais aussi parce qu'on a plus de services à gérer. On reviendra aussi sur tout ça

Guillaume:

dans l'épisode. Deux sas.

François:

Alors un qui est la concrétisation de celui du dernier et un nouveau vraiment from scratch.

Guillaume:

Deux mises en prod.

François:

Voilà deux mises en prod, mais dont un qui est quasi près, il est du donc voilà. Trop cool, en tout cas trop content de vous retrouver les amis.

Guillaume:

Et toi mon mon François.

Umut:

Allez, on ne t'a même pas posé la question. À chaque fois, on le on ne le baille pas, on l'oublie.

François:

Trop bien ça va bien et je trouve. Il vient

Guillaume:

de se taper un un week-end en barque il a traversé

Umut:

avec une barque. Il y a

Ludovic:

moins de le week-end dernier, tu as fait quoi François

François:

Un peu de, un peu de canoë.

Umut:

Un peu de canoë. Attendez, on va leur dire

François:

ses limites. Il a fait, il

Umut:

a fait la traversée de la Manche.

Ludovic:

Il a

Umut:

fait, je ne sais pas combien

Guillaume:

de kilomètres en kayak et Raconte-nous tes dernières vacances. Ouais.

François:

Voilà. Là, il se trouve que effectivement j'aime bien j'aime bien l'aventure, j'aime bien trimer

Umut:

et donc quand j'ai du temps disponible.

François:

Je prends mes pieds, mes vélos, mes kayaks et et je pars dans l'aventure donc ouais effectivement en avril je suis parti faire du sud-ouest jusqu'au sud du Portugal en passant par l'Espagne, les déserts espagnols et voilà et Combien de kilomètres Ça faisait mille-quatre-cents kilomètres à faire en en vélo aventure. C'est vrai. En raid aventure, c'était cool, mais mais ouais, mais bientôt vous viendrez, vous viendrez avec moi quand on aura moins de salaire. Dans deux ans, dans deux ans. Dans deux ans.

Umut:

Dans deux ans. Le

François:

trente février prochain.

Umut:

Oui, c'est ça. Je vais le noter dans la journée, je vais me mettre dans calme. Bon si jamais pour ceux qui nous écoutent, il y a un peu de vent, donc on ne sait pas trop ce que ça va donner si jamais.

François:

Là là on tente le podcast en extérieur, bon terrasse c'est en extérieur quand même. D'ailleurs pour ceux que ça intéresse, mais on va mettre un un truc à la fin pour vous rappeler, pour nous donner de la force, mais le podcast, les podcasts d'ailleurs sont disponibles sur YouTube avec la vidéo. Si vous vous préférez écouter sur YouTube, si vous préférez regarder des vidéos, si vous avez YouTube premium incroyable.

Umut:

Et voir l'évolution de notre visage au fur et à mesure avec les sas qu'on build à ce moment-là qui augmente. C'est ça.

Guillaume:

Profiter de du cadre aussi. Exactement.

François:

Allez, on rentre dans le vif du sujet, donc mi-mars, mi-avril, mi-mai, mi-juin, j'ai quatre doigts, c'est bon, ça fait quatre mois. On va raconter ce qui s'est passé pour remettre un peu du liant, dernier on est sur plusieurs sas, un épisode on vous en a parlé, on a eu une mauvaise nouvelle, un client qui nous qui ne nous a pas payé, qui ne nous a toujours pas payé aujourd'hui et en fait ça a complètement rabattu, rebattu pardon notre stratégie puisque dernier on avait en tête un petit peu de de faire un face tous les deux mois en parallèle du service, lever un peu le pied sur le service, avoir plus de temps pour faire du sas et caetera, ça a été grosso modo l'inverse puisqu'on a quasi mis en stand-by le SaaS et fait beaucoup plus de services. Donc on va se faire un petit petit tour de table sur ce sujet, comment on a changé un peu la stratégie, ce qu'on a pu faire pour aller chercher un peu de cash et sécuriser nos clients et peut-être optimiser un peu nos process, aller aller plus vite pour essayer de faire plus de marge, réduire aussi la voilure avec peut-être un peu moins de freelances et caetera.

François:

Pour vous donner, on ne va pas rentrer dans les montants, on ne va pas rentrer dans les qui du quoi, est-ce que c'est, il faut faire ci ou il faut faire ça, mais certains payeurs représentent pour fig deux mois de chiffre d'affaires et ce n'est pas juste du chiffre d'affaires puisque nous les freelances ont été payés, donc ça rentre deux mois en équivalent chiffre d'affaires mais pour nous c'est cent pour cent de marge.

Umut:

Donc

François:

c'est une perte qui est énorme, qui aurait pu nous mettre en énorme difficulté si on n'avait pas eu un peu de trésorerie en prévision de se lancer beaucoup plus dans le sas. Grâce à ce matelas, on a pu encaisser un petit peu le coup et du coup avoir assez de temps pour repivoter, changer un peu notre stratégie. Mais teasing du prochain épisode, on est back in the game. Du coup on revient du Guillaume, on a ça en impayés, on sait qu'on a les prochaines mises en prod du service, le mindset il est comment là

Guillaume:

sur le coup, c'est vrai que ça fait un, ça fait toujours quelque chose, surtout que c'est des sujets en plus de la, enfin niveau charge mentale, c'est c'est un petit coup dur. Après je ne suis pas prévu du doux. Qui était pas prévu effectivement et mais dans notre stratégie en fait je pense la manière de de gérer aussi on on fait pas n'importe quoi donc on avait beaucoup de très haut on avait aussi nos tripes on a un cycle en fait où tu as des nouveaux projets qui arrivent donc en fait ça tombait à peu près au bon moment C'est, ce n'est jamais le bon moment.

François:

Non.

Guillaume:

Mais ça tombait entre guillemets à un bon moment. Donc c'est vrai qu'on n'a pas ressenti un gros gros stress et je trouvais que tu avais bien géré aussi toi François en toute, enfin t'as tout de suite voulu externaliser le problème.

François:

Ah oui, et puis là on pourra faire un big up à cette solution après.

Guillaume:

Voilà, ouais, si tu pourrais en mettre en toucher deux mots, mais en tout cas, sur le coup, c'est vrai que ça fait quand même un peu de pression là, un peu de charge mentale sur les les premiers jours, mais moi personnellement, ça ne va pas impacter plus que ça parce que j'ai un peu tiré les lignes et j'ai vu que voilà bah on allait s'en sortir après c'est sûr que ça te casse un peu tes plans en cours de route et c'est surtout ça qui fait un peu mal c'est pas c'est c'est pas de la survie, c'est du confort, c'est tes projets qui qui tombent un peu à l'eau ou qui sont décalés. Donc ça ça fait un ça fait un petit coup au moral et et surtout que tu reviens dans des sujets sur lesquels tu voulais un peu t'extirper. Donc ça c'était un peu, c'est clair que c'était pas fameux mais bon, c'est quelques mois un peu compliqués à passer. Mais maintenant, on les a faits. On se retrouve là au soleil et d'aplomb là pour.

Umut:

Très marrant de dire ça comme ça alors qu'on a failli passer à côté d'un gouffre

Guillaume:

et d'une faillite. Ah non.

Umut:

C'est quand même hallucinant, mais il faut quand même mettre les mots dessus parce qu'on a l'impression que c'est chill, c'est fun, machin pour ceux qui vont nous écouter, mais on a failli quand même qu'il est la boîte quoi à cause de ce de cet impayé. Limite si on n'avait

Guillaume:

pas eu. Oui, la situation a fait que que pour nous non, mais ça aurait pu, dans un autre contexte, ça aurait pu arriver.

Ludovic:

Après, tu me diras, c'est déjà arrivé tellement de fois ça que.

Guillaume:

Oui, c'est

Umut:

un peu une alliance. Oui, c'est un peu une habitude qu'on a. Au début quand tu

Guillaume:

te lances, c'est clair que maintenant qu'on a la très haut après deux ans, mais d'ailleurs c'est une des causes, je crois que c'est une des plus grandes causes de fermeture des PME. Des APA

François:

Je crois que les APA, c'est la deuxième cause, oui, qui le crash. En fait, nous, ça aurait duré trois mois

Umut:

au lieu de deux.

François:

Là ça aurait été très très différent. Oui effectivement. Parce que du coup on aurait eu les charges mais pas les recettes, là ça aurait été très très chaud. Parce qu'en fait ça tombe pour ceux qui font un peu de bénéfices en deux-mille-vingt-trois, ça tombe en même temps que les impôts en société, donc mars, avril, mai, juin,

Umut:

sinon c'est trop facile là

François:

quand même, tous cumulés, donc on était là au bois putain, il faut qu'on enfin, il faut qu'on décale les les prélèvements d'impôts, voire pour la TVA, et caetera. Donc, ouais, c'est tout chaud.

Guillaume:

Les account, les account sont au max, le max parce que les premières années, on n'a fait que charger la Trezo. Donc ils nous prennent des acomptes pour l'année prochaine c'est basé sur sur la performance passée sauf que jamais de la vie on fera enfin on gardera autant en résultat quoi. Oui c'est clair

François:

ça fait prendre dans un étau de l'enfer là.

Guillaume:

C'est ça. Mais on s'en sort bien c'est moi

Umut:

qui suis Ouais c'est clair on apprend apprend.

François:

On apprend. Franchement. Quel juin on est, mais le dix juin.

Ludovic:

On a pris du retard dans le plan, mais.

Guillaume:

Ouais. C'est un peu

Ludovic:

la solution qu'on avait. C'était vu que le précédent permettait de de choisir là où on voulait aller, c'était un peu prévu, on a juste dû changer nos plans pour à la place de de Build Les Saces.

François:

Ben oui, au lieu de faire aller soixante pour cent de sas et quarante pour cent de service, on a fait quatre-vingt, quatre-vingt-dix pour cent de service et dix-vingt pour cent de sas.

Guillaume:

De toute façon, je pense que ça aussi dit la force du service, c'est que c'est hyper formateur quoi. Tu vis tellement de situations où t'as pas prévu, t'es dans la merde qui sont compliquées, t'as le stress, t'as beaucoup d'imprévus en fait dans le service parce que tu peux, il y a très peu de choses que tu peux contrôler. Et je pense qu'après deux ans de, enfin même plus avec le freelance, même si c'est un autre niveau, on commence à avoir un petit vécu, donc on gère les situations mieux, je trouve maintenant.

Umut:

On anticipe un peu aussi. On anticipe un peu par rapport aux clients. On se dit potentiellement, tu vois là, ça peut casser ou là, ça peut, il peut y avoir potentiellement une merde et c'est vrai que ouais tu tu le sens en deux trois ans là tu commences déjà à prendre un niveau de dingue quand tu quand tu es quand tu es dedans du matin au soir c'est lendemain.

François:

Je ne veux

Ludovic:

plus avec le feu. Non c'est pas grave ça c'est bon et là maintenant on sait on a un peu l'expérience

Guillaume:

moi tu as

Umut:

tu pu plus t'es. C'est clair, mais et je pense que là aussi où il y a un truc au début, je me souviens, on faisait, on essayait des, on espérait des choses qui étaient limite impossibles tu vois ou alors qui étaient hyper hyper enfin qui qui avaient une probabilité hyper basse et on se disait bon bah vas-y lui il va payer lui il va payer lui aussi donc ça veut dire que le mois prochain on va on va gagner tant et caetera c'est incroyable sauf qu'en fait au moment où tu dis ça et trois jours après ou une semaine après tu vois qu'il y a un délire complet et qu'en fait non, mec pas du tout, lui, il n'a pas payé, lui, il se barre, et caetera. Tu te dis oh putain, en fait, je viens de passer de trente cas ou je ne sais pas, cent cas de CA à deux

Guillaume:

balles. Donc là

Umut:

C'est tout le temps.

Guillaume:

C'est tout

Umut:

le temps ça en fait, c'est c'est le service, c'est Maidys, c'est c'est c'est bienvenu dans le service quoi.

Guillaume:

Je trouve que maintenant on passe justement, on passe dans une phase où on peut plus se projeter à long terme avec le temps où les changements court terme t'impactent beaucoup moins. En tout cas, moi personnellement, à un mois, deux mois, je ne fais même plus attention parce que tu sinon tu ne vis plus quoi.

Umut:

C'est clair. Oui parce que tu as la charge mentale derrière aussi qui est infâme qui est infâme quoi.

François:

Ouais après ça a été un peu stressant et ça c'était un peu ce truc du Monopoly tu vois reculer trois cases. On était là avec le podcast, on était prêt, tu vois le lancement de Google Commercid.

Guillaume:

Et niveau charge mentale pour donner une idée c'est c'est qu'on avait quand même dû Avoir. Bien 50 pourcent de plus de boulot que ce qui était prévu sur les 3 mois quoi. Donc ça fait quand même sur trois mois tu

Umut:

Faut tenir.

Guillaume:

On a bien senti le le coup ces trois derniers mois.

François:

Ça a été assez dur, surtout qu'en plus sur le service donc c'est vrai que là cet épisode c'est vraiment on re-raconte entre le dernier offside et donc on est beaucoup dans le service puisque du coup on a fait beaucoup de services après on reparlera de ton relancement d'offre design puisqu'on est allé encore plus loin dans le service puis du lancement d'une offre grosse aussi, puis on s'est dit on va le service un peu plus, enfin du coup on est vraiment à la fin au service. Mais du coup juste pour rebondir sur ce que disait Guillaume, il y a eu effectivement un, ça c'est un truc qu'il faut garder en tête, c'est que notre temps il est il est précieux et du coup on était tombé sur un outil d'ailleurs un grand merci à Hugo Bens de la chapelle pour pour avoir fait un post LinkedIn là-dessus, un outil qui s'appelle G-collect et qui permet de décentraliser, enfin pas de décentraliser, mais de D de Déléguer. Ouais de déléguer, on va dire le recouvrement de factures. Donc on met toutes les factures, les échanges mails, le contexte, les contrats tout ça et eux s'occupent un pourcentage selon le pourcentage selon le montant de la facture, d'aller chercher le recouvrement.

François:

Donc pour l'instant ça changera, on n'a pas touché beaucoup plus d'argent, mais au moins le process est lancé, c'est carré, nous on s'en occupe pas, on l'a oublié entre guillemets, si on arrive à trouver quelque chose et à renégocier un échéancier, ça sera génial. Mais au moins si vous pouvez parfois surtout sur des sujets un peu juridiques légaux ou comptables, trouver un tiers qui peut s'en occuper et le top du top payé au succès, c'est juste tiens le bordel et et bon chance mon ami.

Ludovic:

C'est qu'il va

Umut:

chercher mon travail.

Ludovic:

Il va chercher un travail beaucoup.

François:

Ouais du coup on s'en occupe plus de cette cette affaire, on se dit juste tant mieux si ça retombe un jour, trop bien quoi. Oui. C'est clair, nous. Du coup, fin de ce offsite, on avait déjà parlé via Best Designer, on fera un épisode spécial sur teasing, le mort-né.

Umut:

Le mort-né. Le mort-né.

François:

On avait parlé un petit peu de l'offre design illimité puisque vous nous avez lancé première fois, après on n'avait pas mis beaucoup de d'efforts non plus, mais le pricing peut-être tu, je te laisse juste la parole après, tu n'étais peut-être pas parfait. Et du coup en plus du service tech où on y reviendra les gars, mais il y a eu aussi des ajustements imprévus. Je pense par exemple à FitMom où on a dû faire par exemple une web en plus, à un autre projet où on a dû faire une nappe qui n'était pas prévu.

Guillaume:

Il y avait des.

François:

Donc il y a eu des. Alors c'est top pour le business, mais du coup tout ça a fait que ça a pas mal surchargé votre partie et vous en parlerai juste après comment on gère un en n'étant toujours pas beaucoup. Mais du coup toi au bout du premier lancement pas ouf, best designer on en reparle dans un hors série et là c'était quand, c'était il y a trois semaines.

Umut:

C'était pile trois semaines, trois semaines comme ça.

François:

Lancement on va dire relancement avec de l'effort du design as a service. Peut-être ceux qui nous découvrent sur cet épisode, c'est quoi ton offre en une phrase

Umut:

En gros, c'est un designer senior, Product designer senior en illimité pour sept-cent-cinquante, sept-cent-cinquante euros par mois. Voilà. Partir en tout cas.

François:

Au prix d'un stagiaire, vous avez un senior designer, design illimité, le seul truc c'est c'est une demande à la fois Avec quoi ça peut prendre jusqu'à quarante-huit, soixante-douze heures pour les demandes. Exact. Vous pouvez demander des landing pages, des websides, des produits vidéo, des créatives ads pour vos pubs, des tout ce que vous voulez dès que ça touche au design.

Umut:

C'est ça.

François:

En gros si vous devez ouvrir illustrateur PowerPoint, figma, Framer ou qu'importe le logiciel, Omood peut vous le faire Exactement. Dix fois mieux. Et dix fois plus vite. Donc lancement, donc revient sur le premier lancement, on skip on en fait un épisode, ce deuxième lancement et puis comment tout ce service finalement

Umut:

existe aujourd'hui C'était difficile. Au début, quand on veut lancer une offre comme ça, c'est difficile de se baser sur un pricing surtout qui peut être sexy et en même temps qui peut justifier ton tes compétences. Et fait, quand j'ai commencé à regarder un peu ce qui se faisait aux US et big up à un gros gros gros designer que je qui est mon mentor qui s'appelle design Joy Brett. Donc lui, c'est c'est c'est c'est un génie du design et qui qui a vraiment cette culture-là de de design par abonnement. En fait, c'est de lui qu'on s'est vraiment beaucoup inspiré et on s'est dit putain, ça peut être intéressant de de break un peu ce, enfin de de de piquer un peu cette idée et d'essayer de la en fait en France quoi.

Umut:

Et et parce qu'il n'y

François:

a pas beaucoup de

Umut:

personnes qui coûtent quoi.

François:

Mais c'est un bon exemple de se dire attendez s'il y a un concurrent j'y vais pas. Ouais. C'est l'inverse. Clairement. Un modèle par abonnement de design on n'y serait probablement jamais allé si personne dans le monde le faisait.

François:

Exact. Là à l'inverse on voit aux US il y a plusieurs mecs des solos, il font plus d'un million à l'année avec ça. Donc on se dit vas-y il y a peut-être une part de gâteau à prendre, on voit ce qu'on peut faire un peu mieux, marché français et caetera donc voilà c'était juste une petite pause mais s'il y a de la concurrence, c'est une bonne chose.

Umut:

Exactement et bien analyser aussi ce que font entre guillemets ces concurrents ou ces mentors que vous pouvez que vous pouvez trouver. Pour quelques chiffres, Design Joy, c'est quatre, cinq ans d'xp où il a commencé en solopreneur, donc tout seul et il est passé de quatre-cent-cinquante du tarif abonnement au début à aujourd'hui huit-mille, huit-mille-cinq-cent, donc par slot, à chaque fois qu'une personne veut bosser avec lui. Donc c'est c'est énorme, mais bon après il y a du boulot, il y a toute une strate et il y a toute une mécanique. Et donc c'est là-dessus que je me suis basé, je me suis dit bon, il faut qu'on essaye de faire la même chose. Et en testant le pricing, en testant de réduire sa marge, et caetera vraiment, quitte à ce que limite on soit à perte parce que c'est aujourd'hui, c'est un peu le cas, c'est qu'on est à perte sur l'offre design.

Umut:

On commence à zéro, on se dit bon, qu'est-ce qu'on fait On a commencé avec un tarif qui défie toute concurrence cinq-cent-cinquante. Donc cinq-cent-cinquante, c'était Cent-cinquante. D'abord cinq-cent-cinquante, les cinq premiers. Oui, oui, c'est ça, donc vraiment On

François:

a fait sept-cent-cinquante en mode scale.

Umut:

Exactement, donc cinq-cent-cinquante, on a star, donc bien évidemment, les cinq premiers slots sont partis à une vitesse grand v parce qu'en fait, ce qui est intéressant, c'est que moi, ça fait maintenant huit ans que je fais ça. J'ai huit ans d'xp dans le design. Je fais énormément de trucs et en plus, je fais des proto hyper animés pixel perfect. Donc les cinq sont partis hyper vite. Sparti of market.

Umut:

Ouais non mais clairement.

Guillaume:

Le réseau de

François:

Ouais, l'idée c'est parti d'une demi-journée, allez je suis gentil, trois quarts de journée d'un d'un senior quoi.

Umut:

Un senior sur Malte, je vous le dis ça vaut cinq cents euros.

Guillaume:

Même minimum.

Umut:

Peut-être minimum, c'est ça.

François:

C'est plus sept, huit cents pour un Product design.

Umut:

Donc là j'arrive avec une offre comme ça, les gens ne comprennent pas, ils se disent que je suis un gros au début et ils veulent vraiment me justifier parce que le site c'est pareil une fois que, en fait c'est le plus gros conseil, c'est d'abord commencer, faites, essayez de vendre déjà une offre même si qu'elle n'est pas parfaite, ce n'est pas grave et on l'a vu, mais nous, on l'a, on l'a fait et enfin ça a ça a pris quoi. Et donc on s'est remis en question. Je me suis dit bon ok, je vaux peut-être plus haut que ça, mais ce n'est pas grave, il faut bien commencer quelque part. La preuve design joy, il a commencé, il était à quatre cents balles quoi. Donc comme quoi ça, c'est c'était c'était hyper game changer.

Umut:

Donc on a commencé comme ça, donc ça, c'était il y a trois semaines littéralement, donc cinq cent cinquante. Les cinq premiers partent. Ensuite, le slot d'après commence, donc la deuxième brique donc de sept-cent-cinquante. Les cinq premiers arrivent avec les sept-cent-cinquante, il boucle tous les slots. Donc on tourne déjà, on est à dix et aujourd'hui, donc ça fait à peu près trois semaines on est à on a atteint le slot de mille cinq donc là on est à mille cinq cents par personne et par slot qui veulent qui veulent rejoindre le design par abonnement.

François:

Et on va aller jusqu'à où

Umut:

C'est infini, mais l'objectif pour l'instant déjà sur sur le court terme, j'ai ce qui est compliqué avec cette offre-là, c'est que tu ne peux pas non plus t'amuser à avoir trente-cinq personnes parce que je suis tout

Guillaume:

seul et

Umut:

j'ai peut-être une ou deux personnes qui m'aident sur sur la continuité de la production. Mais l'objectif, c'est c'est d'avoir des clients de plus en plus de quali, travailler avec des agences surtout. J'aimerais bien aussi me essayer de me dissocier aussi des des des solopreneurs, des des des personnes qui veulent avoir des petits projets, et caetera, donc qui n'ont pas forcément des gros budgets pour tenir sur la longueur, mais qui sont là pour quelques mois. Ça, c'est hyper cool au début. Donc vraiment essayer de partir de cette idée-là pour aller plus sur des grosses agences qui ont eux besoin d'externaliser énormément design quoi.

François:

Parce qu'en fait là là en fait je rebondis ça ça touche plusieurs sujets qui sont assez clés. En fait à qui s'adresse ton offre, il y a les first time entrepreneurs donc ceux qui ont besoin d'accompagnement design pour leur, leur web app. Exactement. Les agences qui ont besoin d'aide pour délivrer à leurs clients et les enterprises, call-up ou grosses boîtes pour un besoin ponctuel, ils ne vont pas recruter donc ils font appel à toi. Exactement.

François:

Pour deux trois mois. C'est flexible start stop pause donc donc ça c'est canon. Mais surtout ce qui est intéressant là-dedans, donc pour rappel il a au début tu avais lancé à deux-mille-deux-cent-cinquante par mois, là on a lancé à cinq-cent-cinquante puis sept-cent-cinquante et au tout début moi j'ai eu j'ai eu des remarques sur des WhatsApp un peu off, mais enfin vous perdez de l'argent. Bah ouais. Sauf qu'en fait, une fois que tu as lancé et que tu as tes premiers clients à sept-cent-cinquante, cinq-cent-cinquante, sept-cent-cinquante, après en fait tu te crées une légitimité, tu te crées du bouche à oreille, tu refais process, tu es plus à même de aller chercher mille-cinq que commencer à mille-cinq.

François:

D'ailleurs on l'a vu à deux-mille-deux-cent-cinquante, on a eu énormément de mal. Et en fait ça c'est le principe de l'offre irrésistible. C'est que s'il vous vend du design à un euro, tout le monde va le prendre. À deux euros, il y aura peut-être un peu moins de monde. Et en fait, tout ça après c'est d'arriver à monter au prix le plus cher que vous pouvez en ajustant votre marketing, votre savoir-faire et c'est pour ça que certains arrivent à huit-mille, d'autres n'arrivent pas à deux-cent-cinquante, mais tout ça c'est le concept de l'offre irrésistible.

François:

Comment vous pouvez lancer quelque chose sur le marché où la personne en face ne peut pas dire non Et quand tu as fait à cinq-cent-cinquante, tu aurais aurais même pu commencer à cinquante euros après clairement, c'est,

Umut:

bien sûr. Bien sûr.

François:

Ça n'a pas de sens, mais

Umut:

C'est ça.

François:

Cinq cent cinquante euros tu vois, en vrai ne pas le prendre si ne serait-ce que tu as besoin d'un PDF un pitch deck ou n'importe quoi, c'est rentable.

Umut:

Clairement et et je pense que la la le plus gros point sur lequel nous on a on a eu une grosse grosse claque, c'est le, on y revient tout le temps même, mais c'est le Building, en fait c'est le Building public. C'est en fait, il y a deux mondes, on est hyper décorrélé en fait de la de la réalité parce que il y a notre image à nous publiquement de ce que les gens voient en fait quand on arrive sur ton profil LinkedIn, on ne sait pas que tu as bossé avec Prisma Media qui est une énorme boîte. On ne sait pas que tu as bossé avec tu je ne sais pas combien de start-up, on on ne connaît pas en fait. Et pourtant, moi, ça fait huit ans que je fais ça. Donc comment tu vas dire à quelqu'un, prends-moi un abonnement à deux-mille-deux-cent, tu vas voir, c'est irrésistible, c'est super, je te fais plein de trucs.

Umut:

Lui, il s'en fout. Lui, il voit un truc, c'est ta notoriété et le pricing. C'est deux deux KPI qui sont hyper importantes. Et en fait, quand tu reprends du recul, ok, on a short le prix fois divisé par vingt-huit peut-être. Mais derrière, j'ai fait une vidéo sur LinkedIn pour promouvoir cette offre et je me suis fait quatre-vingt-quinze likes, quelques heures même pas.

Umut:

Et en fait, c'est là où tu dis, mais attends, du coup, je rencontre tellement de personnes. J'ai quasiment aujourd'hui trois calls par jour et beaucoup de BM sur LinkedIn de personnes qui veulent cet abonnement et qui me disent non mais s'il te plaît vas-y est-ce qu'il n'y a pas encore un slots vas-y s'il te plaît. Je dis non je peux plus, je je peux plus, on en a on en a beaucoup. Et donc en fait c'est ça que je veux dire, c'est il y a en fait c'est ta notoriété je pense et ta ta célébrité entre guillemets qui fait aussi que qui qui fait que ton offre devient aussi irrésistible et que les deux matchs en fait je pense que c'est ça.

François:

Tout

Umut:

à fait et d'ailleurs

Guillaume:

c'est intéressant parce que tu as effectivement

François:

deux trois DM de gens qui seraient qui auraient été prêts à sept cent cinquante mais c'est plus possible, mais qui bascule pas encore à mille cinq, donc c'est la preuve qu'il faut encore bosser le market, le public, le personnel, la notoriété pour qu'il bascule direct. Et ça effectivement, ça on pourra en faire un épisode dédié sur trouver ses premiers clients en service, en design ou en tech. On a eu pas mal de choses en place après aussi du networking qui datait d'avant, on a activé tous nos réseaux, tu as pris un peu plus la parole et caetera et caetera. Mais pour vous donner un ordre d'idée en trois semaines, on a rempli notre CRM pour à peu près treize mille de MRR en plus des 6 mille que tu fais actuellement. Oui Donc en trois semaines bien sûr tous ne vont pas convertir, ça prend du temps, certains vont convertir mais en tout cas on a probablement de de quoi déjà renouveler cent pour cent de ta base actuelle pour dans 6 mois.

François:

Donc ça on vous fera un épisode dédié, trouver des clients et avancer là-dessus. Et ça c'est trop cool et on on y reviendra dans d'autres épisodes, mais ça nous a aidés sur la partie tech qui prenait vachement l'eau, non pas en termes de cash, mais en termes de travail et donc beaucoup de pression pour vous parce que finalement tout le cash service dépendait jusque-là de la tech. Et donc du coup du fait que Omoute maintenant puisse rentrer cinq 6 cas et très rapidement je pense d'ici un mois ou deux dix cas, ça décharge la tech, ça permet dans l'avenir de faire moins. On reviendra sur le groupe juste après, mais là on va on va se focus sur la partie tech parce que vous vous êtes retrouvé en mode, on ne va pas faire beaucoup de sas et vous allez faire dix fois plus de services et en plus tout le cash dépend de vous à court terme et en plus nos clients ont voulu. Donc en gros tout ce qu'on devait livrer aller fin mars après le, un mois, un mois et demi après, on a tous pris un plus un, plus deux mois sur chaque projet avec des nouvelles demandes qu'il a fallu encaisser, ce n'était pas prévu, on ne pouvait pas dire non parce qu'on avait besoin de cash.

Guillaume:

Ouais, non, mais c'est vrai qu'on était un peu pris dans dans un dans un entonnoir, Finalement, enfin c'est un accès en fait la base.

François:

Dans un étau, je veux dire.

Guillaume:

Ouais, dans

Umut:

un étau. Merci. La funnel.

Guillaume:

Non, mais en gros, on est vraiment, la texte est la base du business de l'agence. Donc forcément, on veut s'orienter vers les sas. Mais du coup, pour s'orienter vers les sas, il faut y passer du temps. Il faut y passer du temps. C'est-à-dire qu'il faut, ça coûte de l'argent.

Guillaume:

La moindre siècle. C'est de l'argent que tu ne vas pas récupérer sur du service. Sauf que du coup, on était en surcharge d'un côté avec avec les sujets dont on a parlé avant. C'était impossible pour nous de de repartir sur du du sas. Sauf que les sas, fondamentalement, c'est c'est de la tech.

Guillaume:

Tu as besoin de la tech pour créer le produit et le mettre en ligne. Donc, donc on s'est retrouvé dans une situation où on ne fait pas trop de services, on veut sortir du service. Donc on investit pas en ce sens là pour grossir et scale l'agence mais d'un côté on ne peut pas avancer sur sur les sas et ça c'était une situation qui est enfin pour moi personnellement ça c'était assez difficile à trouver une porte de sortie et et c'est normal parce que parce qu'il faut financer aussi tout le tout le truc. Donc si tu ne fais pas le le service, ça n'avance pas. Et au final, c'est un peu suite à une discussion qu'on avait aussi, même entre nous et avec avec Oumoute.

Guillaume:

On s'est dit ok, il faut qu'on qu'on dispatche un peu le la charge, la charge service et le le cash sur plusieurs pôles pour justement amortir du coup la dépendance à la tech et c'est ce qu'on commence à faire. Et finalement, même pas un mois, on voit que ça commence à prendre et on y arrive. Et tant mieux, c'est la preuve aussi que ce qu'on fait depuis le début, c'est du c'est du bon boulot et qu'on est tous talentueux, enfin on a tous une bonne plus-value à apporter et que forcément le service, dès que tu offres une compétence comme ça à un prix attractif, ça ça attire du monde. Donc voilà, on avait ce sujet là. Forcément, maintenant, on voit un peu plus le bout de tout ça sur comment on va pouvoir switcher sur sur les sas.

Guillaume:

Parce que mine de rien dix cas de de charge de cash en moins sur la tech ça peut paraître peu mais mais c'est quand même, c'est quand même énorme parce que c'est dix cas qu'on va passer en moins sur sur des projets tech, qu'on peut passer sur du sas.

Umut:

C'est clair. Et donc

Guillaume:

c'est littéralement dix cas investis tous les mois sur sur du sas.

Ludovic:

Mais à tous les niveaux, c'est génial parce que ça permet aussi à FIG de se diversifier. On a parlé au début qu'on a créé FIG, au début c'était que la tech, après Kummouth justement on a parlé, mais si on diversifie avec un peu de design, ça nous permet aussi d'avoir des revenus au design. Maintenant, François, tu pourras nous dire, tu commences le growth

Umut:

Ah ouais, là, il y a quatre branches maintenant. Enfin trois branches.

Ludovic:

Ça permet aussi d'amortir au cas où, si figues, il y a un problème tech, on un peu moins de de revenus. Ce n'est pas grave vu le design est quand même là, tu as la branche grosse qui peut aider. Ça permet d'être plus solide aussi.

Guillaume:

C'est ça et je pense que on commence à s'approcher un peu justement au point de bascule où notre stratégie se tourne du coup vers vers les prochains mois sur sur du sas tout en maintenant forcément du service et un service tech à un niveau plus bas. Donc là par exemple, on n'a pas prévu sur les prochains mois en tout cas de de de prendre de nouveaux gros projets et plutôt se concentrer quand même sur sur sur sur la période SaaS justement. Et et ce que je trouve cool aussi avec le le service, même le fait que Umoute, tu te lances sur sur le service, c'est qu'il y a un aspect qu'on sous-estime aussi, mais c'est que le service fait quand même un minimum de build, je trouve, mais c'est du build caché. C'est qu'en fait, tu vas mettre en place des process pour pour pour gérer une quantité de clients et aussi une certaine qualité de résultats et aussi des deadlines assez serrés. Donc c'est quand même challengeant.

Guillaume:

Tu n'as pas, enfin ta boîte doit vivre, donc tu dois chiper assez vite pour les clients et tout ça à plus grosse échelle quand tu fais dix clients en même temps, ça te force à créer des process qui qui mine de rien pour nous quand on va lancer les sas, ça va être ultra bénéfique.

Ludovic:

Clairement.

Umut:

Oui parce qu'avec une deadline de quarante-huit heures, c'est c'est au début j'avais un peur. Je t'avoue que Vous étiez bon. Ouais, mais bon oui, mais tu es gentil. Merci d'ailleurs. Mais c'est c'est dur de Je

François:

suis chez les sourcils.

Umut:

C'est horrible de se dire ouais ok tu tu as une offre vingt-quatre quarante-huit heures en vingt-quatre quarante-huit heures tu as le ticket qui doit être fait, mais attends quel type de ticket Quelle complexité Quel et caetera, et caetera. Et donc en fait, c'est hyper important ce que dit Guillaume, c'est qu'en trois semaines, ouais, j'ai dû aussi ajuster moi, adapter mes boards, adapter mes conditions, adapter mes deadlines, faire en sorte que, en fait, je n'ai pas dix request en même temps de clients qui me pètent à la gueule parce que sinon j'implose et je tombe dans la pistache là. Donc c'est, ouais c'est intéressant, c'est intéressant et c'est vrai que c'est quelque chose qu'on va pouvoir utiliser. En fait tout ce qu'on fait, c'est ça qui est ouf avec le service, c'est que le moindre truc qu'on fait, on peut le réutiliser dans dans dans dans All SaaS qu'on va faire ou alors dans All Product qu'on va sales parce que je trouve que c'est hyper formateur ouais, vraiment.

François:

Et en gros, pour faire assez simple et et clôturer assez rapidement de cet épisode de transition et on reviendra un petit peu dans tous les autres épisodes Oui oui. Sur la suite, donc pas d'inquiétude si on a loupé des éléments, on a été imprécis sur d'autres, mais en gros le service est un business en dents de scie, donc on se prend des grands lancements, puis des grandes mises en prod, donc on a besoin de renforts machin, donc le le chiffre d'affaires monte descend, les ressources humaines montent descendent, c'est pas hyper simple à gérer là quand vous avez dû gérer du coup un supplémentaire en même temps sur les deux, on peut pas dire non on avait besoin de cash qu'on pouvait pas non plus prendre des gens pour trop nous aider donc ça a été beaucoup plus travailler sur notre temps enfin votre temps du coup en

Guillaume:

l'occurrence le soir.

François:

Voilà, ça a été chaud et du coup une grosse vision qui nous a, on dirait un illuminé qui parle, un truc qui nous a vraiment aidé, ça a été de se dire en fait on va arrêter grâce notamment à l'arrivée du design et caetera, de de chercher des nouveaux clients, mais plus de construire sur nos clients actuels et de se dire mais de combien on a besoin vraiment de flux sur Stripe, c'est-à-dire de de Un minimum vital. L'abonnement. Ce soit en tech, en design, en growth, en sas et caetera, pour avoir de la visibilité sur le temps long et de se dire ok, je ne sais pas dans quatre mois on a besoin d'un client, mais sinon on est à peu près ok. Et donc dans en si on rentre dans dans les chiffres, nous on sait qu'on met à peu près quinze quatre charges fixes entre les outils, les serveurs, les paies de des alternants qui sont avec nous.

Guillaume:

Et sans nous quoi.

François:

Alors sans nous

Umut:

effectivement. Ensuite, si

François:

on se charge, Guillaume, tu as une bête sur la route.

Umut:

Tu as

François:

une bête énorme. C'est ta botte de

Umut:

tout à

François:

l'heure Si,

Umut:

tout à l'heure, ouais ça

François:

va. Elle est tombée.

Ludovic:

Allez-y.

François:

Voilà, petite, petite interstice Jurassic Park. Je ne sais pas,

Umut:

je voulais faire du tout. Donc

Ludovic:

on a

François:

nos quinze cas, ensuite il faut nos salaires. Donc si on prend qu'on se met à trente cas, il ne faut pas de salaire. Si on a trente-quatre charges, on peut du coup se payer, avoir un peu de et caetera. Trente cas si on divise sur toutes nos sur tous nos pôles, on peut aller chercher par exemple quinze cas en design, quinze quarante tech, dix cas en design, cinq quarante ça c'est grosse. Et donc du coup là on se dit nous on a même un petit modèle Zapier Excel qui nous dit à combien de pourcent on est de sortir de cette partie vraiment chercher des clients non-stop, être dans la et caetera.

François:

Alors après, c'est toujours du temps vendu effectivement, mais ça nous permet de se dire ok tous les mois on sait, on a ce client à temps, ce client à temps, cet accompagnement à temps et si les clients seront satisfaits, on peut se projeter sur le long terme et garder du temps libre sur les sas. L'étape d'après ultime maintenant, c'est de ne plus vendre du tout de temps, vraiment être que dans le coaching à forte valeur ajoutée nos sas, mais en tout cas ça nous a vachement apaisé de se dire voilà le flux il est là, on sait que l'hébergement à chaque fois qu'on en rentre, l'accompagnement, le design, et caetera, ça nous fait sortir petit à petit. Et aujourd'hui je crois on est autour de soixante pour cent sortis de ça donc après il y a d'autres mises d'autres clients qu'on a pris avant de changer cette strate mais voilà. En teasing, on a décidé qu'à partir de maintenant on prenait plus de nouveaux clients, que cet été on prenait un peu de temps réfléchir à la stratégie et travailler des choses dans le fond et qu'à partir de septembre ou en tout cas jusqu'à décembre on chipe dix nouveaux sas en plus de, de feu et de Welcome Messages dont on reparlera évidemment puisque c'est une dinguerie, on va dans les épisodes suivants.

François:

Est-ce que j'ai oublié quelque chose avant de clôturer cet épisode de transition un peu gros On n'est peut-être pas rentré dans le détail de tout et et caetera, mais C'est vrai que je me suis mis au service du coup non pas, enfin si avec grosse, mais en fait on, c'était quand Prisma

Guillaume:

On va commencer. Février,

François:

on a dû en parler très rapidement, mais du coup on est vraiment arrivé tous les quatre aussi sur Prisma en service. Donc ça ça nous a beaucoup aidés parce que ils prenaient toute la et donc on a pu vraiment bosser avec eux et et du coup travailler jusqu'à fin juin là-dessus. Ça hyper cool et c'est vrai que j'avais oublié d'en parler, mais du coup sans trop le savoir grâce à Hammouut, c'est Hammouut qui vend maintenant pour moi, c'est incroyable cette affaire. Incroyable. Il m'a fait une passe d sur un accompagnement en growth donc donc voilà j'ai j'ai un bon premier client en growth.

François:

Ce n'est pas forcément, ce n'était pas forcément prévu.

Umut:

Non mais c'est intéressant, c'est intéressant. Moi je l'ai je l'ai pas prévenu, je vais et j'ai parlé avec le client et voilà et

François:

puis un client design.

Umut:

Un client dit, ah mais c'est ça qui est ouf parce qu'en fait un client design, c'est pour ça qu'en fait on a une boucle qui est infernale. C'est que ça peut venir de la tech, partir vers le design, du design vers la tech, du design vers du growth maintenant ou du growth vers le design, enfin c'est c'est un entonnoir. C'est un entonnoir. Les clients

Guillaume:

viennent de la tech en fait. Ouais, c'est vrai.

Umut:

Les clients viennent de la tech.

Ludovic:

Bien sûr.

Umut:

De la tech qui va vers le design et qui part vers le et en fait c'est ça. En fait c'est ça la plus

Guillaume:

en fait ça représente bien la plus-value de la team je trouve aujourd'hui c'est qu'en fait on n'est pas ensemble pour rien et on sait pourquoi on est ensemble et forcément les gens de l'extérieur quand ils ont l'info en tout cas faut aller à creuser parce que on vend pas

François:

tout le

Guillaume:

tout le service comme ça en open mais c'est vrai que ça a de la valeur le temps mine de rien qu'on passe nous l'expérience qu'on a, ça vaut quelque chose. C'est pour ça que c'est assez marrant de voir ce cheminement passer.

François:

Ouais, c'est

Guillaume:

ça représente bien le le le sujet quoi.

François:

Et puis du coup ça a priorisé un peu et après voilà très cool. Est-ce qu'on en prendra d'autres Est-ce qu'il y aura d'autres

Umut:

pour faire

François:

Ah oui,

Umut:

c'est intéressant.

François:

Juste pour dire dites oui et ensuite vous voyez comment délivrer et ça se délivre.

Umut:

Pas oui parce que Et on

François:

va recommander un autre.

Umut:

Pour pas dire oui si tu sais pas le faire aussi. Faut faire gaffe parce que tu sais dites oui fake it et vous êtes vierge de pas de kitesurf là, on parle de growth, c'est un truc hyper pointu, enfin c'est c'est parce que François fait ça déjà depuis je ne sais pas combien de temps avec les sas qu'on build, c'est pour ça qu'il il a entre guillemets les épaules pour pouvoir proposer une offre comme ça sinon jamais de la vie moi

François:

je vais la placer. Mais exactement intéressant tu dis bien sûr ça aide aussi à aller de l'avant et dire oui.

Umut:

Je vais pas vendre Guillaume pour faire du design par exemple ça n'a pas de sens

François:

quoi bosser.

Guillaume:

Je n'accepterai pas chacun

Umut:

ses chantiers chacun ses sujets. Allez Guillaume c'est la rentrée des classes

François:

avec des cardam. Mais du coup pour Reka parce que je pense que c'est un peu compliqué à nous suivre, mais décembre deux-mille-vingt-trois, super market fit sur le service, à deux doigts de se dire on va concurrencer IBM, on scale en mode agence, on va chercher du recrutement, on n'était pas loin d'une vingtaine à un moment. Après on lève le pied, on se dit maintenant non, nous on veut faire des sas donc limite on en parlait dans un épisode les mecs un peu bêtes ils ont un market fit et au final ils veulent partir faire du sas. Modulo le fait qu'attention quand on fait de la tête c'est très compliqué de scale parce qu'à l'inverse du marketing ou du growth et caetera, un client mobilise beaucoup de ressources techniques. Alors qu'à l'inverse en gros sans market, un client est géré par un dixième de personnes, autrement dit avec un marketeux, vous pourrez gérer dix clients.

François:

En texte c'est l'inverse. Donc en termes de croissance et de risque, c'est très très risqué de croître sur des s s deux I. Ensuite on se met à fond sur nos sas, on va plutôt, on avance bien et caetera c'est cool. Et là paf le marché, il nous dit quoi, il nous dit lui il ne nous paye pas, allez on retourne au fourneau. Donc là il faut changer, reproriser, lancer l'offre design alors qu'on ne voulait pas faire de service, on avait comme message en EHPAD sur lequel du coup on n'en a pas parlé mais on a très peu avancé

Umut:

À cause de ça.

François:

À cause de ça notamment même si après on a eu un peu de cash et on a pu investir on fera un autre épisode là-dessus sinon l'épisode sera trop long. Effectivement on a délégué la prod de ce de ce sas à nos nos freelances avec lesquels on bosse. Et donc tout ça fait que même parfois si vous avez la volonté d'aller ailleurs, le chemin en fait il n'est jamais comme on a prévu de le prendre. Donc on sait qu'on va aller en haut de cette montagne, maintenant est-ce qu'on va nager dans les petits ruisseaux croupis, faire des petits sauts sur les rochers,

Umut:

faire de

François:

la luge dans les cavernes et on ne sait pas trop, mais on sait la direction qu'on prend et c'est pour ça que c'est intéressant je pense de partager vraiment de façon transparente, que ce n'est pas genre ouais on a arrêté le service, on a eu du cash, on a lancé des sas, ils ont marché, bravo, on est dans ma dînette, merci bonsoir. Non la réalité c'est un peu ça, c'est, on a voulu y aller, on s'est pris une claque, non on retourne et et voilà et ça date d'air, mais c'est il y a des trucs cool.

Guillaume:

Et surtout que fondamentalement avec le la direction, enfin même notre situation en fait, on est obligé d'être ultra flexible parce que on on est quand même un bateau, on est nous quatre, on n'est pas des solopreneurs. Quand tu es solo preneur c'est beaucoup plus simple entre guillemets, parce que tu dépends enfin les les sommes déjà que tu dois récolter pour vivre, même il y a des les sommes pour financer ton train de vie.

Umut:

Oui ça n'a rien à voir bien sûr.

Guillaume:

Il y a des preneurs, ils sont même chômage. Enfin, tu vois là, on on on, ce n'est pas pareil quand tu es à quatre. Nous, en plus d'être à quatre, voilà, on a des charges. Donc on est, on ne peut pas prendre des décisions pivoter du jour au lendemain.

Umut:

C'est ça

François:

qui demande

Guillaume:

très souvent.

Ludovic:

Le chemin agence vers ça, je pense, c'est un des plus compliqués. Si tu as les habitudes de ton agence, ton rythme de vie en agence et c'est extrêmement dur justement de trouver le temps, on le voit, trouver le temps pour pour pivoter vers les SAS.

Umut:

Et pour le peu que tu

François:

aies pris des engagements avec tes clients historiques, tu peux pas du jour au lendemain claquer des doigts et dire ouais bah non, en fait, tu es serveur, ciao, ta maintenance.

Guillaume:

Non, c'est possible, ouais, ouais.

Umut:

Masta.

Guillaume:

Je pense pense qu'aujourd'hui, c'est même plus simple si tu vois, si demain on était chacun à notre compte de notre côté et le le soir par-ci par-là, tu Clairement. Enfin, en tout cas, dans dans lit, il y a dans les trois derniers mois, la situation était qu'on était cent pour cent service, zéro pour cent.

Ludovic:

C'est que plutôt cent-cinquante pour cent.

Umut:

Ouais, donc avec deux mises en prod, tu m'étonnes.

François:

Putain, d'ailleurs, on reparlera du modèle Excel et notre rémunération aussi variable. Ça, on en a pas parlé, en fait il y a trop de trucs à dire.

Umut:

Il y a trop de trucs.

François:

On distillera les infos au fur et à mesure des épisodes. C'est un bon teasing ça les gars. Bien c'est pareil.

Ludovic:

Magnifique. Et en

François:

plus je touche à l'arrêt mais

Umut:

Ça va parler cash.

François:

Donc voilà suivez dans les prochaines prochains épisodes et puis place pour la première fois notre petit roller coaster de fin là qui leur dit et tout de liker, partager d'aller sur YouTube sur Indyker et tout.

Umut:

Exactement. C'est tout

François:

ça qu'on a fait trop bien. Allez ciao les gars et puis enfin pas que les gars enfin vous allez je me rattrape comme ça,

Umut:

ciao à vous

François:

les gars,

Umut:

merci à tous ceux et toutes celles qui nous ont écouté. Merci.

François:

Merci d'avoir écouté cet épisode de Public Sass Builders. Vous avez aimé Donnez-nous de la force en une minute. Abonnez-vous à PublicSask Builder sur votre plateforme préférée pour ne rater aucun épisode. Ça prend genre deux secondes. Envoyez cet épisode à deux de vos contacts qui sont intéressés par le sas et qui veulent entreprendre.

François:

Enfin mettez-nous cinq étoiles ouais minimum sur les plateformes Apple podcast et Spotify trente secondes. Sachez que vous pouvez également nous retrouver en vidéo sur notre chaîne YouTube, tous les podcasts sont aussi dispo en vidéo et vous retrouverez en bonus des vidéos exclusives sur le design et le growth en face cam par et moi-même en mode public. Vous pouvez nous retrouver aussi sur Twitter ou LinkedIn, il y a cette là ou pas Non je rajoute. Allez en gros merci de votre soutien et à très vite.