UNIK MEDIA

Le Dr Frédéric Saldmann a accepté de passer au crible L'effet 110, le dernier livre de Franck Nicolas !
Le Crash-test sera-t-il réussi ?

🧠 Je vous invite  à votre tour à découvrir ce puissant guide d'auto-coaching fondé sur les dernières découvertes en neurosciences et sur les approches de coaching les plus efficiente: http://leffet110.com

What is UNIK MEDIA?

Les Rencontres inspirantes de Franck Nicolas.
Nous avons tous en nous des dons et des talents uniques.
Les grandes réussites de tous les domaines qui nous entourent ont su mieux que quiconque les découvrir et les exploiter pour vivre leur vie à 110%. Et si vous pouviez en être inspiré et reproduire ce même chemin ? Franck entre dans la "tête" de ces leaders incroyables pour vous livrer leur recette du succès.
Nous vous dévoilons des talents "UNIK" pour réussir à votre tour.

Depuis le début
de l'humanité,

il y a eu 108
milliards de morts,

personne ne
s'en est sorti.

Il y a ce côté
immortel de l'enfant

qui perdure
à l'âge adulte.

Oui.

Beaucoup de gens
vivent avec le temps

de l'enfance
en pensant qu'ils

ont un temps immense
qui ne s'arrête pas.

Ils oublient

l'horloge,
le tic-tac.

Pour quelles raisons

la plupart des gens
voient petit ?

On vit tous
en dessous de notre

potentiel dont on
a connaissance.

Oui, on ne donne pas
toute la puissance.

Mais il va falloir

accorder nos
violents,

entre guillemets,
entre ce que nous

disons et ce
que nous vivons.

Parce que les nos
habitudes forgent

la femme et l'homme
que nous sommes.

Tout est possible.

C'est pour ça
que la force

du mental va
tout définir.

Mais en fait, on
est maître du jeu.

En fait, ce livre,
c'est quelque chose

qui rend
libre aussi.

Je suis content
que tu dis ça.

Ce livre rend libre.

Oui, ce n'est pas
du prêt à penser.

Oui, exactement.

C'est que
simplement,

à partir du moment
où on prend

conscience de son
potentiel,

il devient beaucoup
plus libre.

Et l'une des plus
belles façons

de sortir
de la prison,

c'est de mettre
en place

des habitudes qui
nous rendent libres.

Le titre est L'effet

110, on se demande
ce que c'est.

Et l'avantage d'un

livre, de ce livre,
c'est qu'on lit

une phrase, on a le
temps d'y réfléchir.

Ce n'est pas un
livre, c'est le lit.

Je suis
Frédéric Salman.

J'ai le bonheur
aujourd'hui

d'être en vrai avec
Franck Nicolas.

Je peux vous dire

que c'est
un événement.

Et surtout d'avoir
un bouquin

extraordinaire
entre les mains,

L'effet 110,
le rêve.

Bonjour Frédéric.
Bonjour.

Comment vas-tu ?

Moi, comme
un charme.

Alors aujourd'hui,

c'est un numéro
un spécial.

Nous avons un livre
entre les mains.

Tu connais un peu

le principe
du crash test ?

Ce n'est pas

un livre,
c'est le livre.

Tu es adorable.

Et finalement,
ce que j'avais envie

de vous dire,
c'est qu'on va

essayer de faire
un crash test avec

un scientifique
éminent,

dans la francophonie
et dans le monde,

parce que son
livre a été édité.

Ces livres ont été

édités
à des millions

d'exemplaires,
pas des centaines

de milliers,
des millions.

On en est à combien
maintenant ?

Je ne sais pas.

Qu'on aime,
on ne compte pas.

Aujourd'hui,

le jeu avec
Frédéric,

On va inverser
un peu les rôles.

C'est-à-dire

que j'aimerais
partager

et avoir un retour
d'expérience

de notre médecin
favori,

Frédéric Sallmann,
sur l'effet 110.

Vous connaissez

le principe
des crash tests

pour les voitures
et pour autre chose.

On va faire la même
chose pour ce livre.

On va le passer
à la moulinette avec

un scientifique
incroyable.

Frédéric,

tout d'abord,
l'effet 110,

qu'est-ce que ça
t'évoque pour toi

dans nos vies
de leader,

d'entrepreneur
de tous les jours ?

D'abord, le titre
est formidable.

Parce que l'effet

110, on se demande
ce que c'est.

Et ça ouvre
sur une question.

Donc, quelque part,

on a envie
de savoir.

Et je trouve
que c'est un titre

formidable parce
qu'il laisse

complètement dans
l'interrogation.

Au fait,
l'effet 110,

pour toi,
c'est quoi ?

C'est la capacité
de réveiller

en permanence notre
étincelle

en nous-même
à chaque instant,

ça va du contrôle
de nos émotions,

souvent que l'on
laisse entre les de

notre vague à l'âme,
à la capacité

d'avoir beaucoup
plus de clarté,

de focus dans une
prise de décision.

Comment tu réveilles
l'étincelle ?

Le premier point,

c'est ce que j'ai
écrit dans le livre.

Je commence
toujours,

comme tu l'as vu,
par le corps.

Je commence toujours
par le corps.

Je parle du facteur

K, le facteur K,
K comme kinésiste.

Et l'idée, c'est que

même dans mes
coachings One-One

avec des hommes
et des femmes

ou avec un large
public,

le premier élément
qui déclenche

l'effet 110,
c'est notre corps,

pour déclencher
d'abord une énergie.

L'énergie vient

en premier lieu,
non pas

de la réflexion,
mais du corps.

Et toi d'ailleurs,
tu me disais,

et je le voyais
dans tes livres,

tu en parles
souvent, tu disais:

Lorsque je vois
un champion

qui monte
sur un ring,

et on avait
un champion dont on

a parlé,
quand il monte

sur le ring
ou sur le terrain

de tennis,
peu importe,

je sais s'il va
gagner ou pas.

Je lui ai dit:
Tiens,

c'est intéressant
parce qu'évidemment,

c'est la même
démarche que j'ai.

Je lui ai demandé:

Mais pour quelles
raisons ?

Et tu m'as répondu:
C'est simple.

La démarche,
le regard,

l'ensemble,
c'est un langage.

C'est-à-dire

que quelque part,
il est là,

mais au plus profond
de lui-même,

il n'est pas là
et il va perdre.

D'ailleurs,

une anecdote,
quand je suis

en consultation
et je demande

à des patients
d'arrêter de fumer,

d'arrêter
de boire, etc.

Tant que je vois
qu'ils ont les bras

croisés comme ça,
ça, ça veut dire: Je

ne veux pas,
je refuse,

Je me dis: Mais je
n'ai aucune chance.

Et tant qu'ils n'ont
pas desserré

les bras,
je sais que tout ce

que je pourrais
dire...

Ne serait
pas entendu.

Ne sera pas entendu.

Ce serait écouté,
mais pas entendu.

C'est incroyable,
ça.

C'est-à-dire
que la plupart

du temps,
même lorsque je

travaille
en coaching

ou lorsque je
rencontre quelqu'un

dans la rue:
Monsieur Nicolas,

c'est chouette, j'ai
lu l'effet 106, etc.

J'attends toujours
la vraie question.

Et la vraie

question, on la voit
d'abord avec

le corps et
les mouvements.

Oui, parce que c'est
un langage.

Et l'avantage,
Un livre,

de ce livre,
c'est qu'on lit

une phrase, on a le
temps d'y réfléchir.

Quand on regarde
une vidéo,

même qu'on assiste
à un show

extraordinaire
comme ceux que tu

fais,
qui sont faibles,

mais on a envie
que le temps

s'arrête pour y
réfléchir.

Et le livre,
c'est le seul outil

aujourd'hui
qui permet

que par rapport
à quelque chose

de fort, parce qu'il
y a plein de choses

très fortes dans ce
livre,

mais on a besoin
de les digérer.

Si on nous donne

des tas de choses
formidables à manger

en un minimum
de temps, on n'a pas

le temps de
les apprécier.

Au restaurant,

je déteste les menus
de dégustation.

On me balance
douze plats

en une heure
et demie,

mais je n'ai pas
le temps

d'assimiler,
de réfléchir.

C'est de l'abattage.

Ce n'est pas
possible.

Et le livre,

c'est le seul
vecteur

de communication
qui permet

de s'arrêter
et de réfléchir.

Alors,
tu sais que je l'ai

écrit et je pense
que tu l'as sous

une forme
d'auto-coaching

et de guide,
finalement,

bien plus qu'une
méthode, un guide.

Et ce qui est
intéressant dans ce

livre, et tu l'as
ressenti, c'est que,

et vous le verrez
vous aussi,

ou peut-être
que déjà,

vous l'avez dégusté,
c'est que...

Je vais vous

le faire en sorte
que ce soit

notamment
des concepts

de coaching,
30 concepts

de coaching,
des synthèses,

des questions
de l'auto-coaching.

On l'a imaginé avec
toute l'équipe

de Globe,
de façon à ce qu'en

le lisant,
on applique déjà

l'effet 110,
qu'on modifie déjà

en temps réel
ses habitudes.

Et à la fin,
on a déjà progressé.

Et ce qui est

intéressant avec ce
livre, c'est

qu'on revient sur le
concept de limite.

On vit tous
en dessous de notre

potentiel dont on
a connaissance.

Et toi,
dans tes livres,

tu l'as démontré,
ça,

qu'on
s'auto-limitait

nous-mêmes
en permanence.

Oui, on ne donne pas
toute la puissance.

Pour des tas
de raisons.

Il faut comprendre

que, par exemple,
moi, je m'interroge

en ce moment,
pourquoi ?

Je fais
de la prévention

Pourquoi j'échoue
chez 95% des gens ?

Je leur dis

d'arrêter de fumer,
d'arrêter de boire,

d'arrêter de manger
n'importe quoi, etc.

Non, continue.

Je me suis dit:
Comment ça se fait ?

Par mes livres,
par mes

consultations,
par mes recherches.

Non, ça ne
fonctionne pas.

Et pour comprendre,

il faut penser à la
condition humaine.

En fait,

depuis le début
de l'humanité,

il y a eu 108
milliards de morts,

personne ne
s'en est sorti.

Merci.

Imaginons qu'on est

tous dans le couloir
de la mort.

Personne ne sera
gracié,

aucune chance
de s'en tirer.

On ne sait pas quand

on va nous appeler,
si on souffrira

un peu, beaucoup
ou énormément.

Comme le disait
Jean-Paul Sartre,

la vie,
c'est une panique

dans un théâtre
en feu.

Chaque individu,
par rapport à cette

condition humaine
terrible,

prend un mode
de compensation.

Ce mode
de compensation,

ça peut être
le tabac, l'alcool,

la drogue, la
nourriture en excès.

Certains,

c'est Dieu,
il pratique,

mais il y a un mode
de compensation.

Souvent,
ces modes

de compensation sont
d'ailleurs un peu

destructeurs,
du style: Je suis

un peu plus fort
que la mort.

Ça, on le retrouve
Souvent.

On le retrouve
souvent, ça ?

Oui.

Mais pour quelles
raisons, selon toi ?

Parce que si je

réussis en fumant
énormément et défier

la mort,
je la crains moins.

Et quand j'arrive
en consultation,

je dis: Mais
arrêtez de fumer.

En fait,

Je suis en train
d'enlever

la béquille
à quelqu'un.

Et si on ne pense

pas à ces béquilles
et comment on

les remplace,
on n'y arrive pas.

Beaucoup de gens
vivent avec le temps

de l'enfance
en pensant qu'ils

ont un temps immense
qui ne s'arrête pas.

Ils oublient

l'horloge,
le tic-tac.

Il y a ce côté
immortel de l'enfant

qui perdure
à l'âge adulte.

Oui.
Et qui explique

pourquoi les gens,
parfois, se disent:

Quand on lit ce
livre, on a envie

d'y aller,
mais j'ai le temps.

Et cette déformation
temporelle

qui s'explique aussi
par les paramètres

de la condition
humaine,

nous permet de piger
ce qui se passe.

Parce que quand on
lit ce livre,

on dit: Mais bien
sûr,

bien sûr, Franck
Nicolas a raison.

Mais pourquoi
on n'y va pas ?

Pourquoi les gens
ne le font pas ?

Alors,
il y a un phénomène

vraiment
intéressant,

et on le voit
dans ce livre.

Je vous explique
pour quelles

raisons,
parce que

évidemment,
ce n'est pas

par hasard si
docteur Salman

en parle,
c'est que dans ce

livre, vous allez
comprendre

pour quelles raisons
vous connaissez,

vous avez
les informations,

vous savez ce qu'il
faut faire en clair,

vous avez eu
de premiers

résultats et puis
vous rechuter.

Par exemple,
je dis souvent: Qui

a déjà voulu perdre
un à deux kilos ?

Dans
les commentaires,

vous pouvez
me le dire.

Vous allez me dire:

Peut-être moi,
dans votre vie,

qui a déjà voulu
perdre un kilo ?

Très bien.

Qui est déjà parvenu
à perdre un kilo ?

Et les gens lèvent
la main aussi.

Et qui a rechuté ?

Ce qui est
intéressant,

c'est qu'on
sait quoi faire.

On a déjà obtenu

de bons résultats,
mais on régresse.

Ça correspond

exactement à ce
que tu dis.

Ce livre nous
dit quoi faire ?

Très bien.

Mais combien de gens
ont pour le faire

et continuer
à le faire ?

Et ça,

c'est la question
fondamentale.

C'est toute
la question.

En fait, il ouvre

une voie
passionnante.

On se dit: Mais bien
sûr, mais ensuite.

Et c'est là où,
justement,

dans l'effet 110,
vous allez découvrir

cette approche
qui est

intéressante,
c'est comment vous

pouvez rester
pérenne dans vos

efforts, dans vos
engagements.

Et il y a
quatre énergies

dans ce livre
dont on parle,

que tu connais
très bien.

Quand je dis qu'il
les connaît très

bien, ces livres
reviennent

en détails sur le
plan scientifique.

Il y a l'énergie
cognitive,

il y a l'énergie
émotive,

l'énergie physique
et l'énergie

également
spirituelle.

Qu'est-ce que tu
penses, toi,

de ces quatre
énergies que j'ai

regroupées dans ce
livre sur

l'importance
de les nourrir.

Une énergie,

si on ne la nourrit
pas, elle meurt.

C'est très simple.

Si, par exemple,

l'électricité qu'on
a ici était

alimentée
par quelqu'un

qui pédale,
s'il arrête

de pédaler,
on est dans le noir.

Nos muscles,
par exemple,

si on arrête
de les faire

travailler, font
de 1 à 2% par an.

En fait,
on a besoin d'une

énergie, mais elle
n'est pas pérenne.

Si on ne fait rien
pour l'alimenter,

elle disparaît,
que ce soit

l'énergie
spirituelle.

Et c'est pour ça

que je vais
rejoindre l'énergie

spirituelle
et ce livre.

Quelque part,
quand les gens

croient en Dieu,
pratiquent,

ils vont
dans un lieu

de culte pratiquer
régulièrement.

Des rituels se font

parce que ce n'est
pas si simple

de générer
une une énergie

spirituelle,
mentale.

Si on n'a pas

d'outils,
on n'y arrive pas.

Toutes les pratiques

religieuses au monde
ont des rituels.

Ce n'est pas
pour rien.

C'est marrant parce
que pour

complémenter cette
importance

de nourrir vos
quatre énergies

dont on parle
là-dedans

et l'énergie
qui déclenche

le tout, vous l'avez
compris,

c'est l'énergie
physique, et ensuite

vont découler
les autres énergies.

Il y a plein d'idées

et notamment
des comportements

incroyables sur:
Voici ce que je veux

et voici ce
que je fais.

Un exemple,
la plupart des gens

vont avoir
une vision

champagne-caviar,
mais vont avoir

des habitudes
bière-saucisson.

Tu vois ce que
je veux dire ?

C'est qu'à un moment
donné,

Si nous voulons
progresser dans nos

vies de leader
et d'entrepreneur,

et on voit comment
approcher

le phénomène
dans l'effet 110,

mais il va falloir
accorder nos

violents
entre guillemets,

entre ce que nous
disons et ce

que nous vivons,
parce que les

habitudes
forgent la femme

et l'homme
que nous sommes.

Quand il y a

un décalage
entre ce que nous

sommes en profondeur
et notre vie,

il se produit
un intervalle.

Dans cet intervalle
se logent toutes

les maladies
qui vont sortir.

Parce qu'il y a
quelque part

le langage du corps
pour dire que ça ne

va pas, c'est
la maladie.

Donc, si on n'est
pas raccord sur son

centre de gravité,
on va tomber malade.

D'où l'importance

de raccorder
l'ensemble.

Parfois,
des gens disent:

Je veux m'écrire,
mais c'est cérébral,

leur corps
ne suit pas.

Et souvent,

on a une idée reçue,
c'est que le stress

est forcément
négatif.

Et ça,
tu l'as démontré

avec des recherches
et des études.

J'ai rebondi

là-dessus
dans le livre.

L'idée,

c'est de canaliser,
d'utiliser,

de valser avec
le stress,

comme peut-être
même avec la peur.

Et on vous dit

comment faire
dans ce livre.

Mais tu as même

démontré
que le stress

pouvait augmenter
l'espérance de vie

dans certaines
situations.

Une étude allemande
a clairement montré

que l'absence totale
de stress fait

mourir beaucoup
plus vite.

En fait, le stress,

qu'est-ce
que c'est ?

Face à un même

événement,
un individu va

stresser et
pas l'autre.

Ce qui compte,

ce n'est pas ce
qui se produit,

c'est
l'interprétation

que nous allons
en faire.

On peut
stresser ou pas.

Il y a des gens

qui se regardent
devant la glace,

ils ne se trouvent
pas beaux.

Serge Gainsbourg

disait:
Pensez à la tête

que vous aurez
dans 30 ans et vous

vous trouverez très
beaux aujourd'hui.

Souvent, c'est vrai.
Donc, les gens

qui stressent
en voyant une ride,

Gainsbourg dit: Non,
pas du tout.

Tu n'as rien
compris.

Voilà.

Donc, en définitive,
c'est

l'interprétation
qui va jouer.

Il y a un élément

aussi qui est
important,

que l'on voit,
qui fait partie

de l'équation de ce
guide de l'effet

110, c'est que,
et tu me diras ce

que tu en penses,
on a souvent

tendance
à voir petit.

C'est-à-dire que je
me suis quand même

posé la question
lors de la rédaction

du livre: Pour
quelles raisons

la plupart des gens
voient petit ?

En fait,
on me disait

souvent: Il faut
amener, et c'est ce

que je dis à nos
coachs: Amenez vos

clients à voir
très grand.

On entend toujours,
mais ils vont être

déçus s'ils ne
l'atteignent pas.

Je leur dis souvent:
Le problème,

ce n'est pas
de chuter,

c'est de mettre du
temps à se relever.

Donc, le Le
problème,

ce n'est pas
d'éviter l'échec,

la désillusion,
c'est de s'y

préparer, c'est
de se renforcer.

Qu'est-ce que tu
en penses de ça ?

En fait,
face au même

événement,
on peut

l'interpréter
comme on veut.

Il peut nous

détruire ou nous
renforcer.

Tout est possible.

Donc, c'est pour ça
que la force

du mental va
tout définir.

L'événement

lui-même,
ça peut être

quelque chose
qui vous pousse très

haut ou qui vous
détruit,

mais en fait, on
est maître du jeu.

Et une des clés
passionnantes de ce

livre,
c'est que justement,

ça montre qu'on
est maître du jeu.

En fait, ce livre,
c'est quelque chose

qui rend
libre aussi.

Parce que parfois,
On

a
des interprétations

stéréotypées
sociétales,

familiales,
qui fait que tel

événement doit
penser ça.

Non.

Je suis content
que tu dises ça.

Ce livre rend libre.

Oui, ce n'est pas
du prêt à penser.

Oui, exactement.

C'est que
simplement,

à partir du moment
où on prend

conscience de son
potentiel,

on devient beaucoup
plus libre.

Parfois, des gens

se fabriquent leur
prison et ils sont

le geôlier
en même temps.

Ils sont leur
propre geôlier.

Donc, ils ont

construit
une prison.

Ils sont
leur geôlier.

Et au fil du temps,
la prison va se

rétrécir et eux
en même temps.

L'idée aussi,

finalement,
c'est se dire non

seulement on veut
sortir de la prison,

Mais l'une des plus
belles façons

de sortir
de la présence,

c'est de mettre
en place

des habitudes qui
nous rendent libres.

Je suis très heureux

que tu prononces
le mot libre parce

que je l'avais
dans la tête.

Vraiment.
Oui, parce que ce

livre,
c'est la première

étape vers
la liberté.

C'est les premiers
outils.

Ensuite, il faut

apprendre
à s'en servir.

Mais c'est
un cheminement.

Quand on est libre,
rien ne nous arrête.

C'est comme si on a

plusieurs vies
dans une vie.

Ce qui est
intéressant aussi,

c'est pour aller
plus loin dans cette

capacité de voir
plus grand.

Je vois petit parce

que je ne veux
pas être déçu.

Donc, ce que je

veux, c'est
affronter mes peurs

et on vous dit
comment faire

pour surmonter vos
peurs, valcer vos

peurs, gérer
vos émotions.

Vous aurez dans ce

guide tous
les éléments.

Imaginons
que vous ayez envie

de gagner 100 000
de chiffre

d'affaires
dans votre

entreprise ou 100
000 de revenus.

D'accord ?

J'explique
dans le livre qu'on

ne doit jamais avoir
un objectif de 100

000 quand on
veut 100 000.

Parce que notre Le

cerveau,
et toutes

les neurosciences
le démontrent,

avec la plasticité
cérébrale,

est capable
de s'adapter.

Mais lorsqu'on veut
100 000 de revenus,

il faut viser
dix fois plus.

Par exemple,
visons un million.

Si je veux 100 000,
on vise un million.

Pour quelles
raisons ?

Parce qu'en visant
un million,

on va décupler
la neurogénèse,

décupler cette
ouverture mentale

et saisir
des opportunités

qu'on n'aurait
jamais.

Donc, en clair,
quand vous allez

choisir 100
000 de chiffre

d'affaires
comme objectif,

vous allez peut-être
en avoir 60, 50 000.

Si vous poussez
la machine,

il ne s'agit pas
de faire un burn

out, mais quand vous
poussez un peu plus

la vision,
la machine,

la créativité
se met en route.

Et ça,
cette capacité

de cultiver ces
standards plus

élevés, là encore,
toi, tu l'as

démontré et tu l'as
vu dans ta pratique

et dans les
neurosciences.

C'est Oscar Wilde
qui disait:

Il faut toujours
viser la lune.

Si on n'y arrive
pas, au moins,

on décrochera
les étoiles.

Ce qui est vrai,

ce qui est vrai
de manière générale.

Il y a un autre
point aussi

qui tabou
dans la société.

On nous dit souvent:

Il faut éviter
d'être obsessif.

L'obsession
est mauvaise.

Dans ce livre,

je dis exactement
l'inverse.

Soyez obsessifs.

Soyez obsessifs.

Tu as déjà vu, toi,
un champion

olympique qui te
témoigne sa réussite

en n'ayant jamais
été obsessif ?

C'est un homme
qui s'entraîne deux,

trois fois par jour
pendant 15, 20 ans,

qui ne pense
qu'à ça.

Et c'est la seule

raison pour laquelle
il a obtenu ce

podium, finalement,
cette obsession.

L'idée,

c'est de choisir
votre obsession

en fonction
de l'objectif.

Si votre obsession
ne sert pas

à un objectif plus
grand que vous,

celui-là même
qui est non

négociable
pour vous,

je ne parle pas
d'un objectif banal.

Évidemment, là,
vous allez

considérablement
progresser si vous

choisissez
votre obsession.

Si elle est imposée

par les frasques
sociétales,

par les autres,
par la mode,

par le qu'en
dira-t-on, là,

vous allez subir
une obsession.

Si, par exemple,
vous vous mettez

à fumer,
on sait qu'on

commence à fumer
avec des amis.

On appelle ça des
amis, d'ailleurs.

Tu vois ce que le
mot est mal choisi.

Le mot est
mal choisi.

Donc, des relations

vous amènent
à fumer,

mais vous avez
choisi cette

obsession,
vous en êtes

dépendant
et dépendante.

Donc, je vous le dis

et je vous
expliquerai

pour quelles
raisons,

selon les dernières
recherches

en neurosciences,
soyez obsessifs.

Et toutes

les personnes
qui ont réussi,

tu en fais partie,
sont hyper

focalisées
sur chaque mission

à la fois, sans
jamais voir petit.

Mais finalement,
l'obsession peut

être bénéfique, tout
comme le stress.

Si je dois illustrer

par une image
Imaginons que sur ce

mur,
je projette

l'ensemble de ce mur
une lumière laser.

Il ne se passe rien.

Si la même énergie,

je la concentre
sur un Un seul point

de ce mur,
je le transperce.

Et c'est ça
l'obsession,

finalement,
c'est la magie.

On concentre
l'énergie

pour pas qu'elle
diffuse

et pour obtenir
ce que l'on veut.

Tu as démontré
aussi, et on le voit

dans le livre,
comment arrêter

de vivre
à côté de vous.

Quand on est
un entrepreneur,

un leader,
papa, maman

à la maison,
c'est la même chose,

on a tous nos défis
de croissance.

Mais quand on n'a
plus de méthode,

On a du mal
à y voir clair.

Et la plupart
d'entre vous,

la plupart des gens,
ont du mal à se

reconnecter
avec eux-mêmes.

En clair,

j'appelle cela vivre
à côté de soi-même.

Qu'est-ce que tu
pourrais recommander

à des hommes
et des femmes

qui sont pris
dans ce tourbillon

sociétal, justement,
pour apprendre à se

reconnecter
avec eux-mêmes ?

Et tes multiples

livres ont aussi
démontré tout cela

sur le plan
scientifique.

Il y a déjà

une première chose
intéressante.

Quand

vous rencontrez
quelqu'un,

Vous passez
un moment

avec une personne
où vous avez fait

votre travail,
vous êtes sorti

dans un restaurant,
n'importe quoi.

Juste après,

est-ce que ça m'a
rendu heureux ?

Qu'est-ce que ça
m'a apporté ?

C'est une lecture
que vous faites

le soir avant
de vous endormir.

On est confronté

à une série
d'événements.

Des gens qu'on voit.

Parfois,
il y a des gens

qui sont
des pompeurs

d'énergie Les
ventires d'énergie,

il y en a tous
les jours.

Et qui nous abîment.

D'autres qui nous

rechargent
en énergie.

Donc, à un moment
donné,

comme c'est
un travail

progressif, réalisé
ce qu'on a ressenti.

Est-ce que ça valait
le coup ou pas ?

Souvent, les gens,

quand ils ont
tendance à manger

trop,
je leur ai dit:

Attendez,
à chaque bouchée

que vous prenez,
est-ce

que la suivante
vaut le coup ?

Juste de prendre
le temps de se dire:

C'est bon
ou pas pour moi ?

Dans quelle mesure

les gens mangent,
justement,

en fonction de leurs
émotions du moment ?

Quand on garde

la télé en mangeant,
on n'est plus là.

Beaucoup de gens

se mettent à table,
ils n'ont pas faim

parce qu'il faut
bien manger.

Ça ne tient
pas debout.

Donc, la plupart

du temps,
peu de gens se

disent: J'ai
vraiment faim

et je sais ce
que je mange.

Mais rien qu'avec
cette analyse,

on régule son poids
tout de suite.

Et finalement,
comment on peut

expliquer
en extrapolant

finalement cette
perte à ce point

de contrôle
des émotions ?

Et vous verrez

dans l'effet 110,
comment reprendre

le contrôle
de vos émotions.

Mais qu'on se

retrouve dans des
situations

complètement
dingues.

Ça peut être
un iPad,

une tablette,
un téléphone.

Mais on regarde
un film et on

regarde le téléphone
parce que dans

l'instant,
j'ai besoin d'une

étincelle
pour restimuler,

trouver une sorte
une nouvelle source

de dopamine encore
artificielle.

Comment on peut

expliquer
cette perte

de la concentration
avec les années

et ce qu'on va
gagner

pour l'instant
des réseaux sociaux

et de l'hyper
stimulation ?

Parce que tout
simplement,

c'est du prêt à
penser quelque part.

Quand on regarde,
par exemple,

Google nous fournit
un flux d'infos

correspondant à nos
choix et à un moment

donné, c'est
même interprété.

Quand on regarde

des chaînes
d'information,

on sait ce qu'il
faut penser.

Et quand l'individu

cesse de réfléchir
à ce qui se passe,

il perd sa liberté,
il perd son énergie.

Et c'est pour ça

que le vecteur
du livre est

fondamental dans ces
déferlantes,

c'est qui permet
de se recentrer.

On peut regarder
bien sûr des vidéos,

aller des tas
de choses,

mais le livre,
c'est maintenant

le socle
qui permet enfin

d'interpréter
un livre,

on réfléchit
à ce qu'on a lu.

On n'a pas un temps
imposé par un film,

on détermine
son rythme.

Et ce qui est
intéressant dans ce

livre,
hormis le fait

qu'il a été conçu
pour commencer

à modifier ses
émotions en temps

réel, en lisant,
il y a un autre

élément,
c'est que la

lecture,
et notamment

celle-ci qui est
jalonnée

par des parcours
inspirants,

par des méthodes,
par des schémas.

Il y a tout

un process 360
degrés pour vous

permettre
de redévelopper

votre muscle
de la concentration.

Et la lecture est
extrêmement bonne.

Toutes les études
le démontrent

pour justement
travailler en ce

sens, restructurer
le cerveau.

C'est simple,
c'est un outil

nécessaire,
surtout aujourd'hui.

Parce que si on n'a
pas le recours

du livre,
on tombe dans une

perte d'attention,
de concentration

qui fait
que les gens ne

savent plus qui ils
sont, où ils sont,

ce qu'ils
doivent penser.

Et ça crée
un malaise profond

et de tellement
de gens à la dérive.

Il y a une étude

de 2010,
et vous le verrez

dans le livre,
qui a démontré

que le cerveau
humain est beaucoup

plus sensible
à une expérience

négative qu'à une
expérience positive.

C'est-à-dire
que la plupart

des expenses
négatives que l'on

va avoir
auront du mal à être

compensées
par l'équivalent

d'une expérience
positive.

Et ça aussi,

tu l'as vu sur le
plan scientifique.

Est-ce que ça

pourrait expliquer
que l'être humain

est naturellement
négatif

ou sur la défensive
et qu'il faut faire

finalement un effort
pour être heureux ?

Je pense
qu'être heureux,

c'est un
cheminement.

Oui, il y a

un effort,
il y a une démarche,

il y a un
bon emploi.

Je regrette que dans
les écoles,

il n'y ait pas
de cours

pour apprendre
à être heureux.

Qu'il n'y ait pas

encore des fées
sans 10.

Non, quelque part,
on apprend des tas

de choses,
mais on n'apprend

pas l'essentiel
être heureux.

Comment on peut être
heureux par rapport

à des situations
simples ?

Et le livre

l'apporte Il apporte
des réponses

qui permettent
à la fois d'être

libre et heureux
aussi.

Et ce qui est
intéressant, c'est

que, rappelez-vous
qu'à l'époque,

l'être humain,
peut-être remontant

à Néandertal,
il Quand ils ient

d'une grotte,
il devait voir ce

qui n'allait pas
pour survivre.

Parce qu'il pouvait

y avoir un ours qui
allait les dévorer.

Aujourd'hui,
les ours qui nous

dévorent,
il y en a très peu,

même si des fois
dans le métro,

le matin, à Paris,
ça sent l'ours.

Ça, c'est
autre chose.

Mais de manière

générale, on a gardé
ce réflexe vital

de voir ce
qui ne va pas.

Et pour être heureux

ou heureuse
dans notre vie

de leader
et d'entrepreneur,

comment vous voulez
développer votre

business,
votre carrière,

votre couple, votre
vie de famille ?

Si vous avez
toujours ce prisme,

qu'est-ce
qui ne va pas ?

Ce prisme
est extrêmement

dangereux
parce que quand on

regarde une chaîne
d'information,

les actus, il n'y
a que des drames.

Je ne les regarde
jamais.

Mais surtout,
il y a des gens.

Aujourd'hui,

on a des guerres,
des tas de trucs,

des embouteillages,
tout ce qu'on veut.

Plus on va
en parler,

le communiquer
autour de soi,

plus on se fait
du mal,

plus on renforce nos
énergies négatives.

Donc,
si on devient

le relais
de tout ce qui ne va

pas, des guerres,
des chômages

et qu'on le dit,
Toute la journée,

il y a des gens
qui vous

interpellent en vous
disant: Vous avez

vu, il y a ci,
il y a ci.

J'étais en venant
ici avec

un chauffeur de taxi
qui a passé son

temps à m'expliquer
que dans Paris,

c'est une
catastrophe, les JO,

c'est une
catastrophe.

En plus, il y
a la guerre.

Je me suis dit: À

un moment donné,
excusez-moi, je dois

travailler si on
peut se concentrer

un peu dans
le silence.

Parce qu'il se
faisait du mal.

Mais.
Il se vident aussi.

Ils se vident
sur toi.

Pour rien.

Donc, quelque part,

reprendre
une information

négative, c'est déjà
se faire du mal.

En parler,

on se fait
beaucoup de mal.

C'est tellement
vrai.

Et je donne souvent
à mes en participant

dans nos événements
que tu connais bien.

Je leur donne cet

exemple que j'aime
beaucoup.

Imagine que tu
sois diabétique.

D'accord ?
Et tu as un très

haut taux
de diabète.

Tu pars

aux toilettes
et ton ami commande

un thé vert
pour toi.

Tu t'asseois,
tu bois ton thé vert

avec ton ami
de confiance et tu

fais une attaque,
tu meurs.

Qu'est-ce qui
s'est produit ?

Il a complètement

oublié
qu'il ne fallait pas

te faire plaisir
en mettant du sucre

dans ton café ou
dans ton thé vert.

C'est une bonne

intention,
mais il t'a tué.

Et c'est ce qui se
passe bien souvent

avec notre
entourage.

Notre entourage
veut notre bien.

Il souhaite
nous protéger.

Mais la protection,

l'hyper protection,
d'une part,

c'est une privation
de liberté pour vos

mouvements,
pour l'avenir.

Mais d'autre part,
pour revenir à cet

exemple du sucre
qui est mis

dans votre thé vert
par votre ami,

soyez le gardien
et la gardienne

de ce qui passe,
de ce qui entre dans

vos yeux et dans
vos oreilles.

Faites en sorte
d'être extrêmement

attentif
et attentive à ce

qui rentre dans
votre mental.

Et c'est ça le plus
complexe dans nos

vies de leader
et d'entrepreneur,

c'est que si Si vous
ne prêtez pas garde

à ce qui rentre
dans vos oreilles

et dans vos yeux,
vous devenez,

rien que pour une
heure,

pour une journée,
pour la vie,

l'histoire qui est
rentrée là-dedans.

Et voilà comment,

souvent,
nous devenons nos

histoires aux seules
des autres.

Qu'est-ce que tu
en penses ?

Il faut se protéger.
Quand quelqu'un dit:

Mon pauvre, non, je
ne suis pas pauvre.

Tu me veux beaucoup

de mal si tu
utilises ces termes.

J'adore.

Pourquoi tu me dis

une méchanceté
pareille ?

J'adore.

Donc, dans les mots

qui ont l'air
gentils, moi,

je réagis
immédiatement en

disant: Stop,
on arrête là.

Tu as de très

mauvaises intentions
vis-à-vis de moi.

On
va vous dire

une nouvelle fois
dans le livre

comment valser avec
vos peurs et puis

comment
des techniques très

simples
pour renforcer votre

confiance
au quotidien avec

des habitudes
extrêmement simples.

Mais la science a
démontré

qu'en modifiant ses
habitudes,

on augmentait notre
matière grise.

C'est-à-dire qu'on

développe
notre cerveau.

Rien que le fait

d'apprendre à jouer
d'un instrument

ou apprendre
peut-être,

je n'en sais rien,
à faire

de la cuisine,
à prendre

une nouvelle
activité,

on augmente cette
matière grise

de la réflexion,
de la cognition.

Et ça, le cerveau
est génial dans cet

art et cette manière
de s'adapter.

Mais de quelle façon
est-ce

qu'aujourd'hui,
on peut,

grâce à toutes ces
méthodes, et ça,

vous le verrez
dans le livre,

mais augmenter
sa foi en soi.

Je trouve que le
monde manque de foi.

Et je ne parle pas
uniquement de la foi

religieuse,
mais naturellement,

on a la foi tous
les jours pour

des éléments
dont on est habitué.

Je vous donne

un exemple
dans un instant.

Mais on n'a pas
la foi en soi.

L'exemple de foi

principale que l'on
a tous les jours.

J'imagine que

la plupart de celles
et ceux qui nous

écoutent en ce
moment savent

conduire
une voiture.

Un avion,

c'est autre chose,
mais une voiture.

Mais il faut avoir

une sacrée foi
pour rentrer d'une

soirée sur une route
nationale à 23h00

ou à 2h00 du matin,
avoir une foi en se

disant: Je vais être
protégé

par une simple
ligne blanche.

Oui, parce

qu'on est dans le
subjectif complet.

Quelque part,
pour avoir

foi en soi,
il faut d'abord

une énergie
vitale de base.

Quand les gens ont

des pensées
parasites

qui tournent
en boucle,

négatives,
l'énergie,

au lieu d'être
concentré

pour la confiance
en soi,

l'énergie vitale,
la libido,

Les gens se
rabâchent 100 fois

de suite les mêmes
histoires nulles.

Qu'est-ce que tu
veux dire ?

Par exemple,

les gens ont parfois
un petit souci

et ils tournent
en boucle.

L'amster, quoi.
Oui, et ils ont

un bruit de fond qui
bouffe leur énergie.

C'est comme dans le
principe du jeûne,

quand on mange trop,
notre énergie,

au lieu de servir
pour réparer nos

dégâts cellulaires,
baisser

l'inflammation
et augmenter

l'immunité, elle
sert à digérer.

Si notre énergie
mentale est

focalisée
sur des tas de

conneries
qui tournent

en boucle,
il nous manque

l'énergie
pour croire en soi,

pour la foi
en soi-même.

Et donc, du coup,

on est fatigué
avec rien.

Quand quelqu'un me
dit: Je suis

fatigué,
c'est un signal

qui veut dire
que son énergie,

il dépense mal
son énergie.

En fait,

tu veux dire
que chaque début

de journée,
mais évidemment,

on le retrouve
dans l'effet 110,

on a un quota,
une dose d'énergie.

Elle n'est pas
infinie.

Elle n'est
pas infinie.

Et l'avantage,
justement,

en lisant ce livre,
c'est qu'on découvre

comment préserver
cette énergie

pour les choses qui
nous font du bien.

Il y a un vrai
cheminement à faire.

Et ce livre,

c'est le début
de ce cheminement.

Il est essentiel.

Il faut que les gens

le suivent
et continuent.

Et poursuivent
l'aventure, surtout.

Et ce qui est

intéressant
du docteur qui est

en face de moi,
et je vous l'ai

présenté au début
très rapidement

parce
qu'honnêtement,

tout le monde
le connaît,

il y a une facette
que vous ne

connaissez pas
de cet homme,

que je vais
dévoiler ici.

Et il est
à l'origine,

et je lui dis
maintenant,

vous savez,
si il fait partie

des témoignages
de ce livre,

c'est parce que j'ai
une immense

admiration
pour l'homme,

pour le
scientifique,

qui est l'expert,
l'un des experts

mondiaux
aujourd'hui.

Il est français,

il est en vie,
il a 35 ans sans les

taxes et il
est unique.

Je ne suis pas
admiratif

de l'appoint
de six semaines.

Il y a une qualité

énorme chez
cet homme.

Là, il parlait
de jeûne séquentiel.

Moi, je l'ai vu
et je pense que j'ai

pas mal d'énergie,
si vous m'avez déjà

vu dans des
événements.

Il mange une fois

par jour et
c'est le soir.

Il donne beaucoup
de son temps

à une fondation
incroyable.

Il a un cœur immense

Il est extrêmement
pudique à ce propos.

Je l'ai vu donner
durant toute

une soirée
tout son temps,

son amour,
son énergie pour

l'une des causes
qu'il défend,

mais avec beaucoup
d'énergie.

Et il n'avait
pas mangé.

Et tu n'avais
pas mangé ?

Non.

Et 35 ans
sans les taxes.

Oui.
Non, je prends

un repas le soir,
mais quand j'étais

sur scène pendant
trois heures...

Incroyable.

Je ne veux pas être
en train de digérer

quand je suis
sur scène.

Mais c'est

une inspiration
pour moi, cet homme.

Et dans le livre,
vous verrez,

il y a beaucoup
d'exemples comme ça

d'hommes
et de femmes

qui ont une énergie
monumentale

et j'aime ce
terrain-là aussi.

Oui, parce que ce

livre,
c'est aussi

un couteau suisse
qui permet d'aller

dans plein
de directions.

Les gens sont
différents et chacun

va trouver
des éléments

pour lui, pour
aller plus loin.

Et ce qui va être

passionnant,
c'est toutes

les questions
qui vont suivre.

Il y a un point

dans ce livre aussi,
dans un chapitre

qui est intéressant,
qui est intéressante

dans nos vies
de leader

et d'entrepreneur,
c'est comment

réussir avec
les autres.

Et on a été bien

plus loin
que Comment se faire

des amis avec
Dale Carnegie,

qui était évidemment
le livre que tout

le monde a lu dès
son plus jeune âge.

On va beaucoup plus
loin sur les

relations
dans ce livre.

Et pour quelles
raisons est-ce

que j'en parle
au docteur Salman ?

Parce que c'est
un homme...

Je connais des gens
qui ont des amis.

J'en connais.

J'ai aussi des amis,
mais un homme qui a

autant d'amis
que le docteur

Salman,
mais des vrais amis,

C'est des gens
qu'on appelle.

On est

dans le besoin,
on a besoin d'un

conseil,
d'une oreille

attentive, mais
c'est incroyable.

Comment...

Alors, on ne va pas
dévoiler le livre,

évidemment, mais
comment tu fais

pour réussir autant
avec les autres ?

C'est une vraie
question que je te

pose de
nouveau coup.

Très simple.
Je donne.

Je donne sans jamais
chercher à recevoir.

Et quand on donne,
à un moment donné,

on reçoit,
mais pas parce qu'on

a fait un deal,
parce que

simplement,
la générosité,

le don, fait
que ça fonctionne.

Et je t'ai vu
t'adapter à la fois

avec des hommes
et des femmes,

je dirais qui sont
de la classe

ouvrières et avec
d'éminents

présidents de
la République.

Cette adaptation,

en temps réel, c'est
quoi l'astuce ?

Quelque part,

quand on ouvre
un corps humain,

tout le monde
est pareil.

Que ce soit...

Je n'ai jamais
pensé à cette image.

Très simple.

C'est vrai que je
n'ai jamais pensé

à ouvrir un
corps humain.

À l'intérieur,
tout est pareil.

Oui, c'est vrai.

Il n'y a plus de
différence du tout.

Très simplement,
il faut oublier

les fonctions
de chacun

et l'écouter,
voir si la personne

est déjà là
et présente.

Quand on est avec

quelqu'un
qui n'est pas là.

C'est horrible.

Parfois,
il y a des couples

qui se forment,
personne n'est là.

Des familles où
personne n'est là.

Quand quelqu'un

rencontre une autre
personne,

combien sont
capables de dire

la couleur des yeux
de l'autre ?

Dans les détails ?

Oui, les gens ne
regardent pas.

Il y a la pire
des solitudes,

c'est la solitude
au milieu des gens.

C'est tellement
vrai.

Celle-là, elle fait
beaucoup de mal.

On parle d'argent
aussi dans le livre.

On parle d'argent
parce que c'est

un sujet
complètement tabou.

Est-ce que pour toi,
l'argent est tabou ?

Non, c'est
un vecteur.

Je veux dire que

l'argent,
c'est un outil.

Quelques avantages,
ça aide à rendre

plus libre
et ça donne un peu

d'espace et un peu
d'insouciance.

Mais si il est

poussé trop loin,
l'important,

ce n'est pas
tellement l'argent.

Je vais reciter

Oscar Wilde
qui disait à propos

d'un de ses amis:
C'est vrai,

il est beaucoup,
beaucoup plus riche

que moi,
mais comme on

dépense autant,
ça revient au même.

C'est excellent,
c'est très bon.

On est riche

parce qu'on vit
pas par ce qu'on a.

Et combien de gens,

gè, gè, gè,
se font des galères,

vivent mal pour la
possession ?

L'accumulation,
la collection.

Alors qu'on est

complètement
locataire.

L'argent est
important

et ce n'est pas
la seule équation.

Vous le verrez
dans le livre.

Selon moi,
la définition

de la vraie
richesse,

comme tu l'as vu,
la vraie richesse

numéro un,
c'est la santé.

C'est intéressant

parce que vous
comprenez pourquoi

je suis extrêmement
attiré

par des hommes
et des femmes

experts dans le
monde en santé.

Et ici, en France,
on a une perle.

Premier élément,
c'est la santé.

Je ne dis pas ça
en plaisantant.

La plupart du temps,
quand vous

contreperformez,
c'est parce que vous

n'avez pas l'énergie
suffisante.

L'acuité
intellectuelle,

le spark mental,
cette clarté

qui vous permet
d'avoir le bon son,

le bon mot,
la bonne rhétorique,

la bonne dialectique
au bon moment,

avec la bonne
question

et de closer ensuite
avec votre client.

Et ça, c'est
la santé.

Ça, c'est le
premier point.

L'énergie,

le bien-être mental,
l'hygiène mentale.

Deuxième point,
c'est les relations.

Les autres nous

amènent de
de l'énergie.

On le voit
dans cette rencontre

avec notre crash
test de l'effet 110.

La communication
est systémique.

On s'amène tous les
deux notre énergie.

Tu as vu ?

C'est une sorte
de tango.

Et tu l'as démontré
d'ailleurs.

On peut faire

une aparté là-dessus
que lorsqu'on

discute avec
quelqu'un

et lorsqu'on est
en phase, nos cœurs,

qu'est-ce qui se
passe avec le cœur ?

Qu'est-ce qui se

passe avec
les battements ?

Qu'est-ce qui se

passe avec
le souffle ?

On est synchrone.

Exactement,
on est synchrone.

Deuxième point,
c'est les relations.

Trois,
c'est d'avoir

un travail qui
vous passionne.

Vous voyez,
je n'ai pas encore

parlé d'argent
sur la richesse.

Là, on est en train
de travailler.

Finalement,
c'est du plaisir,

mais un travail qui
vous fait vibrer.

Je ne parle pas

du travail
alimentaire que vous

allez avoir pendant
un an, deux ans,

trois ans,
temporaire.

Et le quatrième
point, oui,

en effet,
c'est l'argent.

Mais de dire

que l'argent n'est
pas important.

Je vais vous dire

un truc,
je vais mettre

un autre pied
dans le plat.

Si tu rencontres
quelqu'un dans ta

vie
qui te dit: L'argent

n'est des pas
important,

tu dois entendre:
J'ai échoué.

J'ai échoué.

J'ai échoué
dans l'art

et la manière
de m'occuper de mes

parents qui
vieillissent.

J'ai échoué

dans l'art
et la manière

de payer des études
à mes enfants parce

qu'ils le
méritaient.

Et peut-être
que certaines écoles

auraient été
intéressantes.

Et souvent,

les gens qui vous
disent: L'argent

n'est pas important,
vont rajouter

ensuite: Écoute,
moi, j'ai galéré.

Mes enfants,

ils ont cas à s'en
occuper aussi.

Souvent, on retrouve
cet égoïsme-là.

Donc l'argent,
c'est une énergie.

Et j'ai aimé
ta définition.

Si on devait finir
maintenant sur Quels

ont été tes derniers
effets 110 dans ta

vie ou quelques
principaux effets

110 dans ta vie
qui ont changé

un parcours et
qui ont amené

à une prudence
de déficium

radicalement
différente ?

On est tous

confrontés
au temps qui passe.

D'abord, le plaisir,

c'est que ce que je
faisais avant

en 10h00,
je le fais en 1h00.

Donc, je vais

beaucoup plus vite
qu'avant

de bien choisir
ce qui a du sens.

Et également
de choisir

ce qui me rend
vraiment heureux.

Et ça fait une
vie formidable.

Donc, j'en conclus
que tu es heureux

d'être avec nous
aujourd'hui.

Mais sinon, je ne
serais pas venu.

Et enfin,
qu'est-ce que ça

veut dire pour toi
vivre à 110% ta

définition
du docteur Salman ?

Tendre
d'un effort

ininterrompu
vers la plus haute

forme de
l'existence.

Merci Frédéric
Salman.

C'était un vrai
bonheur.

Est-ce que tu crois
qu'on a passé

le crash test
de l'effet 110 ?

Au-delà.

Merci beaucoup
Frédéric.

Les amis,
on vous met le lien

si vous ne l'avez
pas encore reçu.

Ça devient
un véritable

phénomène mondial
et ça devient

finalement
par lui-même

une référence
du coaching.

Merci mille fois,
c'est grâce à vous.

Merci aussi de nous

donner tous vos
témoignages parce

que cette entrevue,
je l'ai préparée

avec vos
commentaires.

Ça nous fait vibrer
de savoir que vous,

vous passez
à une étape

supérieure
pour votre carrière,

vos affaires
et votre vie privée.

L'effet 110,

j'aime bien cette
maxime: soyons

des leaders actifs,
des raisonnables

et inspirants pour
un monde meilleur.

À bientôt.

Merci encore
Frédéric.

Merci.