Les Rencontres inspirantes de Franck Nicolas.
Nous avons tous en nous des dons et des talents uniques.
Les grandes réussites de tous les domaines qui nous entourent ont su mieux que quiconque les découvrir et les exploiter pour vivre leur vie à 110%. Et si vous pouviez en être inspiré et reproduire ce même chemin ? Franck entre dans la "tête" de ces leaders incroyables pour vous livrer leur recette du succès.
Nous vous dévoilons des talents "UNIK" pour réussir à votre tour.
Depuis le début
de l'humanité,
il y a eu 108
milliards de morts,
personne ne
s'en est sorti.
Il y a ce côté
immortel de l'enfant
qui perdure
à l'âge adulte.
Oui.
Beaucoup de gens
vivent avec le temps
de l'enfance
en pensant qu'ils
ont un temps immense
qui ne s'arrête pas.
Ils oublient
l'horloge,
le tic-tac.
Pour quelles raisons
la plupart des gens
voient petit ?
On vit tous
en dessous de notre
potentiel dont on
a connaissance.
Oui, on ne donne pas
toute la puissance.
Mais il va falloir
accorder nos
violents,
entre guillemets,
entre ce que nous
disons et ce
que nous vivons.
Parce que les nos
habitudes forgent
la femme et l'homme
que nous sommes.
Tout est possible.
C'est pour ça
que la force
du mental va
tout définir.
Mais en fait, on
est maître du jeu.
En fait, ce livre,
c'est quelque chose
qui rend
libre aussi.
Je suis content
que tu dis ça.
Ce livre rend libre.
Oui, ce n'est pas
du prêt à penser.
Oui, exactement.
C'est que
simplement,
à partir du moment
où on prend
conscience de son
potentiel,
il devient beaucoup
plus libre.
Et l'une des plus
belles façons
de sortir
de la prison,
c'est de mettre
en place
des habitudes qui
nous rendent libres.
Le titre est L'effet
110, on se demande
ce que c'est.
Et l'avantage d'un
livre, de ce livre,
c'est qu'on lit
une phrase, on a le
temps d'y réfléchir.
Ce n'est pas un
livre, c'est le lit.
Je suis
Frédéric Salman.
J'ai le bonheur
aujourd'hui
d'être en vrai avec
Franck Nicolas.
Je peux vous dire
que c'est
un événement.
Et surtout d'avoir
un bouquin
extraordinaire
entre les mains,
L'effet 110,
le rêve.
Bonjour Frédéric.
Bonjour.
Comment vas-tu ?
Moi, comme
un charme.
Alors aujourd'hui,
c'est un numéro
un spécial.
Nous avons un livre
entre les mains.
Tu connais un peu
le principe
du crash test ?
Ce n'est pas
un livre,
c'est le livre.
Tu es adorable.
Et finalement,
ce que j'avais envie
de vous dire,
c'est qu'on va
essayer de faire
un crash test avec
un scientifique
éminent,
dans la francophonie
et dans le monde,
parce que son
livre a été édité.
Ces livres ont été
édités
à des millions
d'exemplaires,
pas des centaines
de milliers,
des millions.
On en est à combien
maintenant ?
Je ne sais pas.
Qu'on aime,
on ne compte pas.
Aujourd'hui,
le jeu avec
Frédéric,
On va inverser
un peu les rôles.
C'est-à-dire
que j'aimerais
partager
et avoir un retour
d'expérience
de notre médecin
favori,
Frédéric Sallmann,
sur l'effet 110.
Vous connaissez
le principe
des crash tests
pour les voitures
et pour autre chose.
On va faire la même
chose pour ce livre.
On va le passer
à la moulinette avec
un scientifique
incroyable.
Frédéric,
tout d'abord,
l'effet 110,
qu'est-ce que ça
t'évoque pour toi
dans nos vies
de leader,
d'entrepreneur
de tous les jours ?
D'abord, le titre
est formidable.
Parce que l'effet
110, on se demande
ce que c'est.
Et ça ouvre
sur une question.
Donc, quelque part,
on a envie
de savoir.
Et je trouve
que c'est un titre
formidable parce
qu'il laisse
complètement dans
l'interrogation.
Au fait,
l'effet 110,
pour toi,
c'est quoi ?
C'est la capacité
de réveiller
en permanence notre
étincelle
en nous-même
à chaque instant,
ça va du contrôle
de nos émotions,
souvent que l'on
laisse entre les de
notre vague à l'âme,
à la capacité
d'avoir beaucoup
plus de clarté,
de focus dans une
prise de décision.
Comment tu réveilles
l'étincelle ?
Le premier point,
c'est ce que j'ai
écrit dans le livre.
Je commence
toujours,
comme tu l'as vu,
par le corps.
Je commence toujours
par le corps.
Je parle du facteur
K, le facteur K,
K comme kinésiste.
Et l'idée, c'est que
même dans mes
coachings One-One
avec des hommes
et des femmes
ou avec un large
public,
le premier élément
qui déclenche
l'effet 110,
c'est notre corps,
pour déclencher
d'abord une énergie.
L'énergie vient
en premier lieu,
non pas
de la réflexion,
mais du corps.
Et toi d'ailleurs,
tu me disais,
et je le voyais
dans tes livres,
tu en parles
souvent, tu disais:
Lorsque je vois
un champion
qui monte
sur un ring,
et on avait
un champion dont on
a parlé,
quand il monte
sur le ring
ou sur le terrain
de tennis,
peu importe,
je sais s'il va
gagner ou pas.
Je lui ai dit:
Tiens,
c'est intéressant
parce qu'évidemment,
c'est la même
démarche que j'ai.
Je lui ai demandé:
Mais pour quelles
raisons ?
Et tu m'as répondu:
C'est simple.
La démarche,
le regard,
l'ensemble,
c'est un langage.
C'est-à-dire
que quelque part,
il est là,
mais au plus profond
de lui-même,
il n'est pas là
et il va perdre.
D'ailleurs,
une anecdote,
quand je suis
en consultation
et je demande
à des patients
d'arrêter de fumer,
d'arrêter
de boire, etc.
Tant que je vois
qu'ils ont les bras
croisés comme ça,
ça, ça veut dire: Je
ne veux pas,
je refuse,
Je me dis: Mais je
n'ai aucune chance.
Et tant qu'ils n'ont
pas desserré
les bras,
je sais que tout ce
que je pourrais
dire...
Ne serait
pas entendu.
Ne sera pas entendu.
Ce serait écouté,
mais pas entendu.
C'est incroyable,
ça.
C'est-à-dire
que la plupart
du temps,
même lorsque je
travaille
en coaching
ou lorsque je
rencontre quelqu'un
dans la rue:
Monsieur Nicolas,
c'est chouette, j'ai
lu l'effet 106, etc.
J'attends toujours
la vraie question.
Et la vraie
question, on la voit
d'abord avec
le corps et
les mouvements.
Oui, parce que c'est
un langage.
Et l'avantage,
Un livre,
de ce livre,
c'est qu'on lit
une phrase, on a le
temps d'y réfléchir.
Quand on regarde
une vidéo,
même qu'on assiste
à un show
extraordinaire
comme ceux que tu
fais,
qui sont faibles,
mais on a envie
que le temps
s'arrête pour y
réfléchir.
Et le livre,
c'est le seul outil
aujourd'hui
qui permet
que par rapport
à quelque chose
de fort, parce qu'il
y a plein de choses
très fortes dans ce
livre,
mais on a besoin
de les digérer.
Si on nous donne
des tas de choses
formidables à manger
en un minimum
de temps, on n'a pas
le temps de
les apprécier.
Au restaurant,
je déteste les menus
de dégustation.
On me balance
douze plats
en une heure
et demie,
mais je n'ai pas
le temps
d'assimiler,
de réfléchir.
C'est de l'abattage.
Ce n'est pas
possible.
Et le livre,
c'est le seul
vecteur
de communication
qui permet
de s'arrêter
et de réfléchir.
Alors,
tu sais que je l'ai
écrit et je pense
que tu l'as sous
une forme
d'auto-coaching
et de guide,
finalement,
bien plus qu'une
méthode, un guide.
Et ce qui est
intéressant dans ce
livre, et tu l'as
ressenti, c'est que,
et vous le verrez
vous aussi,
ou peut-être
que déjà,
vous l'avez dégusté,
c'est que...
Je vais vous
le faire en sorte
que ce soit
notamment
des concepts
de coaching,
30 concepts
de coaching,
des synthèses,
des questions
de l'auto-coaching.
On l'a imaginé avec
toute l'équipe
de Globe,
de façon à ce qu'en
le lisant,
on applique déjà
l'effet 110,
qu'on modifie déjà
en temps réel
ses habitudes.
Et à la fin,
on a déjà progressé.
Et ce qui est
intéressant avec ce
livre, c'est
qu'on revient sur le
concept de limite.
On vit tous
en dessous de notre
potentiel dont on
a connaissance.
Et toi,
dans tes livres,
tu l'as démontré,
ça,
qu'on
s'auto-limitait
nous-mêmes
en permanence.
Oui, on ne donne pas
toute la puissance.
Pour des tas
de raisons.
Il faut comprendre
que, par exemple,
moi, je m'interroge
en ce moment,
pourquoi ?
Je fais
de la prévention
Pourquoi j'échoue
chez 95% des gens ?
Je leur dis
d'arrêter de fumer,
d'arrêter de boire,
d'arrêter de manger
n'importe quoi, etc.
Non, continue.
Je me suis dit:
Comment ça se fait ?
Par mes livres,
par mes
consultations,
par mes recherches.
Non, ça ne
fonctionne pas.
Et pour comprendre,
il faut penser à la
condition humaine.
En fait,
depuis le début
de l'humanité,
il y a eu 108
milliards de morts,
personne ne
s'en est sorti.
Merci.
Imaginons qu'on est
tous dans le couloir
de la mort.
Personne ne sera
gracié,
aucune chance
de s'en tirer.
On ne sait pas quand
on va nous appeler,
si on souffrira
un peu, beaucoup
ou énormément.
Comme le disait
Jean-Paul Sartre,
la vie,
c'est une panique
dans un théâtre
en feu.
Chaque individu,
par rapport à cette
condition humaine
terrible,
prend un mode
de compensation.
Ce mode
de compensation,
ça peut être
le tabac, l'alcool,
la drogue, la
nourriture en excès.
Certains,
c'est Dieu,
il pratique,
mais il y a un mode
de compensation.
Souvent,
ces modes
de compensation sont
d'ailleurs un peu
destructeurs,
du style: Je suis
un peu plus fort
que la mort.
Ça, on le retrouve
Souvent.
On le retrouve
souvent, ça ?
Oui.
Mais pour quelles
raisons, selon toi ?
Parce que si je
réussis en fumant
énormément et défier
la mort,
je la crains moins.
Et quand j'arrive
en consultation,
je dis: Mais
arrêtez de fumer.
En fait,
Je suis en train
d'enlever
la béquille
à quelqu'un.
Et si on ne pense
pas à ces béquilles
et comment on
les remplace,
on n'y arrive pas.
Beaucoup de gens
vivent avec le temps
de l'enfance
en pensant qu'ils
ont un temps immense
qui ne s'arrête pas.
Ils oublient
l'horloge,
le tic-tac.
Il y a ce côté
immortel de l'enfant
qui perdure
à l'âge adulte.
Oui.
Et qui explique
pourquoi les gens,
parfois, se disent:
Quand on lit ce
livre, on a envie
d'y aller,
mais j'ai le temps.
Et cette déformation
temporelle
qui s'explique aussi
par les paramètres
de la condition
humaine,
nous permet de piger
ce qui se passe.
Parce que quand on
lit ce livre,
on dit: Mais bien
sûr,
bien sûr, Franck
Nicolas a raison.
Mais pourquoi
on n'y va pas ?
Pourquoi les gens
ne le font pas ?
Alors,
il y a un phénomène
vraiment
intéressant,
et on le voit
dans ce livre.
Je vous explique
pour quelles
raisons,
parce que
évidemment,
ce n'est pas
par hasard si
docteur Salman
en parle,
c'est que dans ce
livre, vous allez
comprendre
pour quelles raisons
vous connaissez,
vous avez
les informations,
vous savez ce qu'il
faut faire en clair,
vous avez eu
de premiers
résultats et puis
vous rechuter.
Par exemple,
je dis souvent: Qui
a déjà voulu perdre
un à deux kilos ?
Dans
les commentaires,
vous pouvez
me le dire.
Vous allez me dire:
Peut-être moi,
dans votre vie,
qui a déjà voulu
perdre un kilo ?
Très bien.
Qui est déjà parvenu
à perdre un kilo ?
Et les gens lèvent
la main aussi.
Et qui a rechuté ?
Ce qui est
intéressant,
c'est qu'on
sait quoi faire.
On a déjà obtenu
de bons résultats,
mais on régresse.
Ça correspond
exactement à ce
que tu dis.
Ce livre nous
dit quoi faire ?
Très bien.
Mais combien de gens
ont pour le faire
et continuer
à le faire ?
Et ça,
c'est la question
fondamentale.
C'est toute
la question.
En fait, il ouvre
une voie
passionnante.
On se dit: Mais bien
sûr, mais ensuite.
Et c'est là où,
justement,
dans l'effet 110,
vous allez découvrir
cette approche
qui est
intéressante,
c'est comment vous
pouvez rester
pérenne dans vos
efforts, dans vos
engagements.
Et il y a
quatre énergies
dans ce livre
dont on parle,
que tu connais
très bien.
Quand je dis qu'il
les connaît très
bien, ces livres
reviennent
en détails sur le
plan scientifique.
Il y a l'énergie
cognitive,
il y a l'énergie
émotive,
l'énergie physique
et l'énergie
également
spirituelle.
Qu'est-ce que tu
penses, toi,
de ces quatre
énergies que j'ai
regroupées dans ce
livre sur
l'importance
de les nourrir.
Une énergie,
si on ne la nourrit
pas, elle meurt.
C'est très simple.
Si, par exemple,
l'électricité qu'on
a ici était
alimentée
par quelqu'un
qui pédale,
s'il arrête
de pédaler,
on est dans le noir.
Nos muscles,
par exemple,
si on arrête
de les faire
travailler, font
de 1 à 2% par an.
En fait,
on a besoin d'une
énergie, mais elle
n'est pas pérenne.
Si on ne fait rien
pour l'alimenter,
elle disparaît,
que ce soit
l'énergie
spirituelle.
Et c'est pour ça
que je vais
rejoindre l'énergie
spirituelle
et ce livre.
Quelque part,
quand les gens
croient en Dieu,
pratiquent,
ils vont
dans un lieu
de culte pratiquer
régulièrement.
Des rituels se font
parce que ce n'est
pas si simple
de générer
une une énergie
spirituelle,
mentale.
Si on n'a pas
d'outils,
on n'y arrive pas.
Toutes les pratiques
religieuses au monde
ont des rituels.
Ce n'est pas
pour rien.
C'est marrant parce
que pour
complémenter cette
importance
de nourrir vos
quatre énergies
dont on parle
là-dedans
et l'énergie
qui déclenche
le tout, vous l'avez
compris,
c'est l'énergie
physique, et ensuite
vont découler
les autres énergies.
Il y a plein d'idées
et notamment
des comportements
incroyables sur:
Voici ce que je veux
et voici ce
que je fais.
Un exemple,
la plupart des gens
vont avoir
une vision
champagne-caviar,
mais vont avoir
des habitudes
bière-saucisson.
Tu vois ce que
je veux dire ?
C'est qu'à un moment
donné,
Si nous voulons
progresser dans nos
vies de leader
et d'entrepreneur,
et on voit comment
approcher
le phénomène
dans l'effet 110,
mais il va falloir
accorder nos
violents
entre guillemets,
entre ce que nous
disons et ce
que nous vivons,
parce que les
habitudes
forgent la femme
et l'homme
que nous sommes.
Quand il y a
un décalage
entre ce que nous
sommes en profondeur
et notre vie,
il se produit
un intervalle.
Dans cet intervalle
se logent toutes
les maladies
qui vont sortir.
Parce qu'il y a
quelque part
le langage du corps
pour dire que ça ne
va pas, c'est
la maladie.
Donc, si on n'est
pas raccord sur son
centre de gravité,
on va tomber malade.
D'où l'importance
de raccorder
l'ensemble.
Parfois,
des gens disent:
Je veux m'écrire,
mais c'est cérébral,
leur corps
ne suit pas.
Et souvent,
on a une idée reçue,
c'est que le stress
est forcément
négatif.
Et ça,
tu l'as démontré
avec des recherches
et des études.
J'ai rebondi
là-dessus
dans le livre.
L'idée,
c'est de canaliser,
d'utiliser,
de valser avec
le stress,
comme peut-être
même avec la peur.
Et on vous dit
comment faire
dans ce livre.
Mais tu as même
démontré
que le stress
pouvait augmenter
l'espérance de vie
dans certaines
situations.
Une étude allemande
a clairement montré
que l'absence totale
de stress fait
mourir beaucoup
plus vite.
En fait, le stress,
qu'est-ce
que c'est ?
Face à un même
événement,
un individu va
stresser et
pas l'autre.
Ce qui compte,
ce n'est pas ce
qui se produit,
c'est
l'interprétation
que nous allons
en faire.
On peut
stresser ou pas.
Il y a des gens
qui se regardent
devant la glace,
ils ne se trouvent
pas beaux.
Serge Gainsbourg
disait:
Pensez à la tête
que vous aurez
dans 30 ans et vous
vous trouverez très
beaux aujourd'hui.
Souvent, c'est vrai.
Donc, les gens
qui stressent
en voyant une ride,
Gainsbourg dit: Non,
pas du tout.
Tu n'as rien
compris.
Voilà.
Donc, en définitive,
c'est
l'interprétation
qui va jouer.
Il y a un élément
aussi qui est
important,
que l'on voit,
qui fait partie
de l'équation de ce
guide de l'effet
110, c'est que,
et tu me diras ce
que tu en penses,
on a souvent
tendance
à voir petit.
C'est-à-dire que je
me suis quand même
posé la question
lors de la rédaction
du livre: Pour
quelles raisons
la plupart des gens
voient petit ?
En fait,
on me disait
souvent: Il faut
amener, et c'est ce
que je dis à nos
coachs: Amenez vos
clients à voir
très grand.
On entend toujours,
mais ils vont être
déçus s'ils ne
l'atteignent pas.
Je leur dis souvent:
Le problème,
ce n'est pas
de chuter,
c'est de mettre du
temps à se relever.
Donc, le Le
problème,
ce n'est pas
d'éviter l'échec,
la désillusion,
c'est de s'y
préparer, c'est
de se renforcer.
Qu'est-ce que tu
en penses de ça ?
En fait,
face au même
événement,
on peut
l'interpréter
comme on veut.
Il peut nous
détruire ou nous
renforcer.
Tout est possible.
Donc, c'est pour ça
que la force
du mental va
tout définir.
L'événement
lui-même,
ça peut être
quelque chose
qui vous pousse très
haut ou qui vous
détruit,
mais en fait, on
est maître du jeu.
Et une des clés
passionnantes de ce
livre,
c'est que justement,
ça montre qu'on
est maître du jeu.
En fait, ce livre,
c'est quelque chose
qui rend
libre aussi.
Parce que parfois,
On
a
des interprétations
stéréotypées
sociétales,
familiales,
qui fait que tel
événement doit
penser ça.
Non.
Je suis content
que tu dises ça.
Ce livre rend libre.
Oui, ce n'est pas
du prêt à penser.
Oui, exactement.
C'est que
simplement,
à partir du moment
où on prend
conscience de son
potentiel,
on devient beaucoup
plus libre.
Parfois, des gens
se fabriquent leur
prison et ils sont
le geôlier
en même temps.
Ils sont leur
propre geôlier.
Donc, ils ont
construit
une prison.
Ils sont
leur geôlier.
Et au fil du temps,
la prison va se
rétrécir et eux
en même temps.
L'idée aussi,
finalement,
c'est se dire non
seulement on veut
sortir de la prison,
Mais l'une des plus
belles façons
de sortir
de la présence,
c'est de mettre
en place
des habitudes qui
nous rendent libres.
Je suis très heureux
que tu prononces
le mot libre parce
que je l'avais
dans la tête.
Vraiment.
Oui, parce que ce
livre,
c'est la première
étape vers
la liberté.
C'est les premiers
outils.
Ensuite, il faut
apprendre
à s'en servir.
Mais c'est
un cheminement.
Quand on est libre,
rien ne nous arrête.
C'est comme si on a
plusieurs vies
dans une vie.
Ce qui est
intéressant aussi,
c'est pour aller
plus loin dans cette
capacité de voir
plus grand.
Je vois petit parce
que je ne veux
pas être déçu.
Donc, ce que je
veux, c'est
affronter mes peurs
et on vous dit
comment faire
pour surmonter vos
peurs, valcer vos
peurs, gérer
vos émotions.
Vous aurez dans ce
guide tous
les éléments.
Imaginons
que vous ayez envie
de gagner 100 000
de chiffre
d'affaires
dans votre
entreprise ou 100
000 de revenus.
D'accord ?
J'explique
dans le livre qu'on
ne doit jamais avoir
un objectif de 100
000 quand on
veut 100 000.
Parce que notre Le
cerveau,
et toutes
les neurosciences
le démontrent,
avec la plasticité
cérébrale,
est capable
de s'adapter.
Mais lorsqu'on veut
100 000 de revenus,
il faut viser
dix fois plus.
Par exemple,
visons un million.
Si je veux 100 000,
on vise un million.
Pour quelles
raisons ?
Parce qu'en visant
un million,
on va décupler
la neurogénèse,
décupler cette
ouverture mentale
et saisir
des opportunités
qu'on n'aurait
jamais.
Donc, en clair,
quand vous allez
choisir 100
000 de chiffre
d'affaires
comme objectif,
vous allez peut-être
en avoir 60, 50 000.
Si vous poussez
la machine,
il ne s'agit pas
de faire un burn
out, mais quand vous
poussez un peu plus
la vision,
la machine,
la créativité
se met en route.
Et ça,
cette capacité
de cultiver ces
standards plus
élevés, là encore,
toi, tu l'as
démontré et tu l'as
vu dans ta pratique
et dans les
neurosciences.
C'est Oscar Wilde
qui disait:
Il faut toujours
viser la lune.
Si on n'y arrive
pas, au moins,
on décrochera
les étoiles.
Ce qui est vrai,
ce qui est vrai
de manière générale.
Il y a un autre
point aussi
qui tabou
dans la société.
On nous dit souvent:
Il faut éviter
d'être obsessif.
L'obsession
est mauvaise.
Dans ce livre,
je dis exactement
l'inverse.
Soyez obsessifs.
Soyez obsessifs.
Tu as déjà vu, toi,
un champion
olympique qui te
témoigne sa réussite
en n'ayant jamais
été obsessif ?
C'est un homme
qui s'entraîne deux,
trois fois par jour
pendant 15, 20 ans,
qui ne pense
qu'à ça.
Et c'est la seule
raison pour laquelle
il a obtenu ce
podium, finalement,
cette obsession.
L'idée,
c'est de choisir
votre obsession
en fonction
de l'objectif.
Si votre obsession
ne sert pas
à un objectif plus
grand que vous,
celui-là même
qui est non
négociable
pour vous,
je ne parle pas
d'un objectif banal.
Évidemment, là,
vous allez
considérablement
progresser si vous
choisissez
votre obsession.
Si elle est imposée
par les frasques
sociétales,
par les autres,
par la mode,
par le qu'en
dira-t-on, là,
vous allez subir
une obsession.
Si, par exemple,
vous vous mettez
à fumer,
on sait qu'on
commence à fumer
avec des amis.
On appelle ça des
amis, d'ailleurs.
Tu vois ce que le
mot est mal choisi.
Le mot est
mal choisi.
Donc, des relations
vous amènent
à fumer,
mais vous avez
choisi cette
obsession,
vous en êtes
dépendant
et dépendante.
Donc, je vous le dis
et je vous
expliquerai
pour quelles
raisons,
selon les dernières
recherches
en neurosciences,
soyez obsessifs.
Et toutes
les personnes
qui ont réussi,
tu en fais partie,
sont hyper
focalisées
sur chaque mission
à la fois, sans
jamais voir petit.
Mais finalement,
l'obsession peut
être bénéfique, tout
comme le stress.
Si je dois illustrer
par une image
Imaginons que sur ce
mur,
je projette
l'ensemble de ce mur
une lumière laser.
Il ne se passe rien.
Si la même énergie,
je la concentre
sur un Un seul point
de ce mur,
je le transperce.
Et c'est ça
l'obsession,
finalement,
c'est la magie.
On concentre
l'énergie
pour pas qu'elle
diffuse
et pour obtenir
ce que l'on veut.
Tu as démontré
aussi, et on le voit
dans le livre,
comment arrêter
de vivre
à côté de vous.
Quand on est
un entrepreneur,
un leader,
papa, maman
à la maison,
c'est la même chose,
on a tous nos défis
de croissance.
Mais quand on n'a
plus de méthode,
On a du mal
à y voir clair.
Et la plupart
d'entre vous,
la plupart des gens,
ont du mal à se
reconnecter
avec eux-mêmes.
En clair,
j'appelle cela vivre
à côté de soi-même.
Qu'est-ce que tu
pourrais recommander
à des hommes
et des femmes
qui sont pris
dans ce tourbillon
sociétal, justement,
pour apprendre à se
reconnecter
avec eux-mêmes ?
Et tes multiples
livres ont aussi
démontré tout cela
sur le plan
scientifique.
Il y a déjà
une première chose
intéressante.
Quand
vous rencontrez
quelqu'un,
Vous passez
un moment
avec une personne
où vous avez fait
votre travail,
vous êtes sorti
dans un restaurant,
n'importe quoi.
Juste après,
est-ce que ça m'a
rendu heureux ?
Qu'est-ce que ça
m'a apporté ?
C'est une lecture
que vous faites
le soir avant
de vous endormir.
On est confronté
à une série
d'événements.
Des gens qu'on voit.
Parfois,
il y a des gens
qui sont
des pompeurs
d'énergie Les
ventires d'énergie,
il y en a tous
les jours.
Et qui nous abîment.
D'autres qui nous
rechargent
en énergie.
Donc, à un moment
donné,
comme c'est
un travail
progressif, réalisé
ce qu'on a ressenti.
Est-ce que ça valait
le coup ou pas ?
Souvent, les gens,
quand ils ont
tendance à manger
trop,
je leur ai dit:
Attendez,
à chaque bouchée
que vous prenez,
est-ce
que la suivante
vaut le coup ?
Juste de prendre
le temps de se dire:
C'est bon
ou pas pour moi ?
Dans quelle mesure
les gens mangent,
justement,
en fonction de leurs
émotions du moment ?
Quand on garde
la télé en mangeant,
on n'est plus là.
Beaucoup de gens
se mettent à table,
ils n'ont pas faim
parce qu'il faut
bien manger.
Ça ne tient
pas debout.
Donc, la plupart
du temps,
peu de gens se
disent: J'ai
vraiment faim
et je sais ce
que je mange.
Mais rien qu'avec
cette analyse,
on régule son poids
tout de suite.
Et finalement,
comment on peut
expliquer
en extrapolant
finalement cette
perte à ce point
de contrôle
des émotions ?
Et vous verrez
dans l'effet 110,
comment reprendre
le contrôle
de vos émotions.
Mais qu'on se
retrouve dans des
situations
complètement
dingues.
Ça peut être
un iPad,
une tablette,
un téléphone.
Mais on regarde
un film et on
regarde le téléphone
parce que dans
l'instant,
j'ai besoin d'une
étincelle
pour restimuler,
trouver une sorte
une nouvelle source
de dopamine encore
artificielle.
Comment on peut
expliquer
cette perte
de la concentration
avec les années
et ce qu'on va
gagner
pour l'instant
des réseaux sociaux
et de l'hyper
stimulation ?
Parce que tout
simplement,
c'est du prêt à
penser quelque part.
Quand on regarde,
par exemple,
Google nous fournit
un flux d'infos
correspondant à nos
choix et à un moment
donné, c'est
même interprété.
Quand on regarde
des chaînes
d'information,
on sait ce qu'il
faut penser.
Et quand l'individu
cesse de réfléchir
à ce qui se passe,
il perd sa liberté,
il perd son énergie.
Et c'est pour ça
que le vecteur
du livre est
fondamental dans ces
déferlantes,
c'est qui permet
de se recentrer.
On peut regarder
bien sûr des vidéos,
aller des tas
de choses,
mais le livre,
c'est maintenant
le socle
qui permet enfin
d'interpréter
un livre,
on réfléchit
à ce qu'on a lu.
On n'a pas un temps
imposé par un film,
on détermine
son rythme.
Et ce qui est
intéressant dans ce
livre,
hormis le fait
qu'il a été conçu
pour commencer
à modifier ses
émotions en temps
réel, en lisant,
il y a un autre
élément,
c'est que la
lecture,
et notamment
celle-ci qui est
jalonnée
par des parcours
inspirants,
par des méthodes,
par des schémas.
Il y a tout
un process 360
degrés pour vous
permettre
de redévelopper
votre muscle
de la concentration.
Et la lecture est
extrêmement bonne.
Toutes les études
le démontrent
pour justement
travailler en ce
sens, restructurer
le cerveau.
C'est simple,
c'est un outil
nécessaire,
surtout aujourd'hui.
Parce que si on n'a
pas le recours
du livre,
on tombe dans une
perte d'attention,
de concentration
qui fait
que les gens ne
savent plus qui ils
sont, où ils sont,
ce qu'ils
doivent penser.
Et ça crée
un malaise profond
et de tellement
de gens à la dérive.
Il y a une étude
de 2010,
et vous le verrez
dans le livre,
qui a démontré
que le cerveau
humain est beaucoup
plus sensible
à une expérience
négative qu'à une
expérience positive.
C'est-à-dire
que la plupart
des expenses
négatives que l'on
va avoir
auront du mal à être
compensées
par l'équivalent
d'une expérience
positive.
Et ça aussi,
tu l'as vu sur le
plan scientifique.
Est-ce que ça
pourrait expliquer
que l'être humain
est naturellement
négatif
ou sur la défensive
et qu'il faut faire
finalement un effort
pour être heureux ?
Je pense
qu'être heureux,
c'est un
cheminement.
Oui, il y a
un effort,
il y a une démarche,
il y a un
bon emploi.
Je regrette que dans
les écoles,
il n'y ait pas
de cours
pour apprendre
à être heureux.
Qu'il n'y ait pas
encore des fées
sans 10.
Non, quelque part,
on apprend des tas
de choses,
mais on n'apprend
pas l'essentiel
être heureux.
Comment on peut être
heureux par rapport
à des situations
simples ?
Et le livre
l'apporte Il apporte
des réponses
qui permettent
à la fois d'être
libre et heureux
aussi.
Et ce qui est
intéressant, c'est
que, rappelez-vous
qu'à l'époque,
l'être humain,
peut-être remontant
à Néandertal,
il Quand ils ient
d'une grotte,
il devait voir ce
qui n'allait pas
pour survivre.
Parce qu'il pouvait
y avoir un ours qui
allait les dévorer.
Aujourd'hui,
les ours qui nous
dévorent,
il y en a très peu,
même si des fois
dans le métro,
le matin, à Paris,
ça sent l'ours.
Ça, c'est
autre chose.
Mais de manière
générale, on a gardé
ce réflexe vital
de voir ce
qui ne va pas.
Et pour être heureux
ou heureuse
dans notre vie
de leader
et d'entrepreneur,
comment vous voulez
développer votre
business,
votre carrière,
votre couple, votre
vie de famille ?
Si vous avez
toujours ce prisme,
qu'est-ce
qui ne va pas ?
Ce prisme
est extrêmement
dangereux
parce que quand on
regarde une chaîne
d'information,
les actus, il n'y
a que des drames.
Je ne les regarde
jamais.
Mais surtout,
il y a des gens.
Aujourd'hui,
on a des guerres,
des tas de trucs,
des embouteillages,
tout ce qu'on veut.
Plus on va
en parler,
le communiquer
autour de soi,
plus on se fait
du mal,
plus on renforce nos
énergies négatives.
Donc,
si on devient
le relais
de tout ce qui ne va
pas, des guerres,
des chômages
et qu'on le dit,
Toute la journée,
il y a des gens
qui vous
interpellent en vous
disant: Vous avez
vu, il y a ci,
il y a ci.
J'étais en venant
ici avec
un chauffeur de taxi
qui a passé son
temps à m'expliquer
que dans Paris,
c'est une
catastrophe, les JO,
c'est une
catastrophe.
En plus, il y
a la guerre.
Je me suis dit: À
un moment donné,
excusez-moi, je dois
travailler si on
peut se concentrer
un peu dans
le silence.
Parce qu'il se
faisait du mal.
Mais.
Il se vident aussi.
Ils se vident
sur toi.
Pour rien.
Donc, quelque part,
reprendre
une information
négative, c'est déjà
se faire du mal.
En parler,
on se fait
beaucoup de mal.
C'est tellement
vrai.
Et je donne souvent
à mes en participant
dans nos événements
que tu connais bien.
Je leur donne cet
exemple que j'aime
beaucoup.
Imagine que tu
sois diabétique.
D'accord ?
Et tu as un très
haut taux
de diabète.
Tu pars
aux toilettes
et ton ami commande
un thé vert
pour toi.
Tu t'asseois,
tu bois ton thé vert
avec ton ami
de confiance et tu
fais une attaque,
tu meurs.
Qu'est-ce qui
s'est produit ?
Il a complètement
oublié
qu'il ne fallait pas
te faire plaisir
en mettant du sucre
dans ton café ou
dans ton thé vert.
C'est une bonne
intention,
mais il t'a tué.
Et c'est ce qui se
passe bien souvent
avec notre
entourage.
Notre entourage
veut notre bien.
Il souhaite
nous protéger.
Mais la protection,
l'hyper protection,
d'une part,
c'est une privation
de liberté pour vos
mouvements,
pour l'avenir.
Mais d'autre part,
pour revenir à cet
exemple du sucre
qui est mis
dans votre thé vert
par votre ami,
soyez le gardien
et la gardienne
de ce qui passe,
de ce qui entre dans
vos yeux et dans
vos oreilles.
Faites en sorte
d'être extrêmement
attentif
et attentive à ce
qui rentre dans
votre mental.
Et c'est ça le plus
complexe dans nos
vies de leader
et d'entrepreneur,
c'est que si Si vous
ne prêtez pas garde
à ce qui rentre
dans vos oreilles
et dans vos yeux,
vous devenez,
rien que pour une
heure,
pour une journée,
pour la vie,
l'histoire qui est
rentrée là-dedans.
Et voilà comment,
souvent,
nous devenons nos
histoires aux seules
des autres.
Qu'est-ce que tu
en penses ?
Il faut se protéger.
Quand quelqu'un dit:
Mon pauvre, non, je
ne suis pas pauvre.
Tu me veux beaucoup
de mal si tu
utilises ces termes.
J'adore.
Pourquoi tu me dis
une méchanceté
pareille ?
J'adore.
Donc, dans les mots
qui ont l'air
gentils, moi,
je réagis
immédiatement en
disant: Stop,
on arrête là.
Tu as de très
mauvaises intentions
vis-à-vis de moi.
On
va vous dire
une nouvelle fois
dans le livre
comment valser avec
vos peurs et puis
comment
des techniques très
simples
pour renforcer votre
confiance
au quotidien avec
des habitudes
extrêmement simples.
Mais la science a
démontré
qu'en modifiant ses
habitudes,
on augmentait notre
matière grise.
C'est-à-dire qu'on
développe
notre cerveau.
Rien que le fait
d'apprendre à jouer
d'un instrument
ou apprendre
peut-être,
je n'en sais rien,
à faire
de la cuisine,
à prendre
une nouvelle
activité,
on augmente cette
matière grise
de la réflexion,
de la cognition.
Et ça, le cerveau
est génial dans cet
art et cette manière
de s'adapter.
Mais de quelle façon
est-ce
qu'aujourd'hui,
on peut,
grâce à toutes ces
méthodes, et ça,
vous le verrez
dans le livre,
mais augmenter
sa foi en soi.
Je trouve que le
monde manque de foi.
Et je ne parle pas
uniquement de la foi
religieuse,
mais naturellement,
on a la foi tous
les jours pour
des éléments
dont on est habitué.
Je vous donne
un exemple
dans un instant.
Mais on n'a pas
la foi en soi.
L'exemple de foi
principale que l'on
a tous les jours.
J'imagine que
la plupart de celles
et ceux qui nous
écoutent en ce
moment savent
conduire
une voiture.
Un avion,
c'est autre chose,
mais une voiture.
Mais il faut avoir
une sacrée foi
pour rentrer d'une
soirée sur une route
nationale à 23h00
ou à 2h00 du matin,
avoir une foi en se
disant: Je vais être
protégé
par une simple
ligne blanche.
Oui, parce
qu'on est dans le
subjectif complet.
Quelque part,
pour avoir
foi en soi,
il faut d'abord
une énergie
vitale de base.
Quand les gens ont
des pensées
parasites
qui tournent
en boucle,
négatives,
l'énergie,
au lieu d'être
concentré
pour la confiance
en soi,
l'énergie vitale,
la libido,
Les gens se
rabâchent 100 fois
de suite les mêmes
histoires nulles.
Qu'est-ce que tu
veux dire ?
Par exemple,
les gens ont parfois
un petit souci
et ils tournent
en boucle.
L'amster, quoi.
Oui, et ils ont
un bruit de fond qui
bouffe leur énergie.
C'est comme dans le
principe du jeûne,
quand on mange trop,
notre énergie,
au lieu de servir
pour réparer nos
dégâts cellulaires,
baisser
l'inflammation
et augmenter
l'immunité, elle
sert à digérer.
Si notre énergie
mentale est
focalisée
sur des tas de
conneries
qui tournent
en boucle,
il nous manque
l'énergie
pour croire en soi,
pour la foi
en soi-même.
Et donc, du coup,
on est fatigué
avec rien.
Quand quelqu'un me
dit: Je suis
fatigué,
c'est un signal
qui veut dire
que son énergie,
il dépense mal
son énergie.
En fait,
tu veux dire
que chaque début
de journée,
mais évidemment,
on le retrouve
dans l'effet 110,
on a un quota,
une dose d'énergie.
Elle n'est pas
infinie.
Elle n'est
pas infinie.
Et l'avantage,
justement,
en lisant ce livre,
c'est qu'on découvre
comment préserver
cette énergie
pour les choses qui
nous font du bien.
Il y a un vrai
cheminement à faire.
Et ce livre,
c'est le début
de ce cheminement.
Il est essentiel.
Il faut que les gens
le suivent
et continuent.
Et poursuivent
l'aventure, surtout.
Et ce qui est
intéressant
du docteur qui est
en face de moi,
et je vous l'ai
présenté au début
très rapidement
parce
qu'honnêtement,
tout le monde
le connaît,
il y a une facette
que vous ne
connaissez pas
de cet homme,
que je vais
dévoiler ici.
Et il est
à l'origine,
et je lui dis
maintenant,
vous savez,
si il fait partie
des témoignages
de ce livre,
c'est parce que j'ai
une immense
admiration
pour l'homme,
pour le
scientifique,
qui est l'expert,
l'un des experts
mondiaux
aujourd'hui.
Il est français,
il est en vie,
il a 35 ans sans les
taxes et il
est unique.
Je ne suis pas
admiratif
de l'appoint
de six semaines.
Il y a une qualité
énorme chez
cet homme.
Là, il parlait
de jeûne séquentiel.
Moi, je l'ai vu
et je pense que j'ai
pas mal d'énergie,
si vous m'avez déjà
vu dans des
événements.
Il mange une fois
par jour et
c'est le soir.
Il donne beaucoup
de son temps
à une fondation
incroyable.
Il a un cœur immense
Il est extrêmement
pudique à ce propos.
Je l'ai vu donner
durant toute
une soirée
tout son temps,
son amour,
son énergie pour
l'une des causes
qu'il défend,
mais avec beaucoup
d'énergie.
Et il n'avait
pas mangé.
Et tu n'avais
pas mangé ?
Non.
Et 35 ans
sans les taxes.
Oui.
Non, je prends
un repas le soir,
mais quand j'étais
sur scène pendant
trois heures...
Incroyable.
Je ne veux pas être
en train de digérer
quand je suis
sur scène.
Mais c'est
une inspiration
pour moi, cet homme.
Et dans le livre,
vous verrez,
il y a beaucoup
d'exemples comme ça
d'hommes
et de femmes
qui ont une énergie
monumentale
et j'aime ce
terrain-là aussi.
Oui, parce que ce
livre,
c'est aussi
un couteau suisse
qui permet d'aller
dans plein
de directions.
Les gens sont
différents et chacun
va trouver
des éléments
pour lui, pour
aller plus loin.
Et ce qui va être
passionnant,
c'est toutes
les questions
qui vont suivre.
Il y a un point
dans ce livre aussi,
dans un chapitre
qui est intéressant,
qui est intéressante
dans nos vies
de leader
et d'entrepreneur,
c'est comment
réussir avec
les autres.
Et on a été bien
plus loin
que Comment se faire
des amis avec
Dale Carnegie,
qui était évidemment
le livre que tout
le monde a lu dès
son plus jeune âge.
On va beaucoup plus
loin sur les
relations
dans ce livre.
Et pour quelles
raisons est-ce
que j'en parle
au docteur Salman ?
Parce que c'est
un homme...
Je connais des gens
qui ont des amis.
J'en connais.
J'ai aussi des amis,
mais un homme qui a
autant d'amis
que le docteur
Salman,
mais des vrais amis,
C'est des gens
qu'on appelle.
On est
dans le besoin,
on a besoin d'un
conseil,
d'une oreille
attentive, mais
c'est incroyable.
Comment...
Alors, on ne va pas
dévoiler le livre,
évidemment, mais
comment tu fais
pour réussir autant
avec les autres ?
C'est une vraie
question que je te
pose de
nouveau coup.
Très simple.
Je donne.
Je donne sans jamais
chercher à recevoir.
Et quand on donne,
à un moment donné,
on reçoit,
mais pas parce qu'on
a fait un deal,
parce que
simplement,
la générosité,
le don, fait
que ça fonctionne.
Et je t'ai vu
t'adapter à la fois
avec des hommes
et des femmes,
je dirais qui sont
de la classe
ouvrières et avec
d'éminents
présidents de
la République.
Cette adaptation,
en temps réel, c'est
quoi l'astuce ?
Quelque part,
quand on ouvre
un corps humain,
tout le monde
est pareil.
Que ce soit...
Je n'ai jamais
pensé à cette image.
Très simple.
C'est vrai que je
n'ai jamais pensé
à ouvrir un
corps humain.
À l'intérieur,
tout est pareil.
Oui, c'est vrai.
Il n'y a plus de
différence du tout.
Très simplement,
il faut oublier
les fonctions
de chacun
et l'écouter,
voir si la personne
est déjà là
et présente.
Quand on est avec
quelqu'un
qui n'est pas là.
C'est horrible.
Parfois,
il y a des couples
qui se forment,
personne n'est là.
Des familles où
personne n'est là.
Quand quelqu'un
rencontre une autre
personne,
combien sont
capables de dire
la couleur des yeux
de l'autre ?
Dans les détails ?
Oui, les gens ne
regardent pas.
Il y a la pire
des solitudes,
c'est la solitude
au milieu des gens.
C'est tellement
vrai.
Celle-là, elle fait
beaucoup de mal.
On parle d'argent
aussi dans le livre.
On parle d'argent
parce que c'est
un sujet
complètement tabou.
Est-ce que pour toi,
l'argent est tabou ?
Non, c'est
un vecteur.
Je veux dire que
l'argent,
c'est un outil.
Quelques avantages,
ça aide à rendre
plus libre
et ça donne un peu
d'espace et un peu
d'insouciance.
Mais si il est
poussé trop loin,
l'important,
ce n'est pas
tellement l'argent.
Je vais reciter
Oscar Wilde
qui disait à propos
d'un de ses amis:
C'est vrai,
il est beaucoup,
beaucoup plus riche
que moi,
mais comme on
dépense autant,
ça revient au même.
C'est excellent,
c'est très bon.
On est riche
parce qu'on vit
pas par ce qu'on a.
Et combien de gens,
gè, gè, gè,
se font des galères,
vivent mal pour la
possession ?
L'accumulation,
la collection.
Alors qu'on est
complètement
locataire.
L'argent est
important
et ce n'est pas
la seule équation.
Vous le verrez
dans le livre.
Selon moi,
la définition
de la vraie
richesse,
comme tu l'as vu,
la vraie richesse
numéro un,
c'est la santé.
C'est intéressant
parce que vous
comprenez pourquoi
je suis extrêmement
attiré
par des hommes
et des femmes
experts dans le
monde en santé.
Et ici, en France,
on a une perle.
Premier élément,
c'est la santé.
Je ne dis pas ça
en plaisantant.
La plupart du temps,
quand vous
contreperformez,
c'est parce que vous
n'avez pas l'énergie
suffisante.
L'acuité
intellectuelle,
le spark mental,
cette clarté
qui vous permet
d'avoir le bon son,
le bon mot,
la bonne rhétorique,
la bonne dialectique
au bon moment,
avec la bonne
question
et de closer ensuite
avec votre client.
Et ça, c'est
la santé.
Ça, c'est le
premier point.
L'énergie,
le bien-être mental,
l'hygiène mentale.
Deuxième point,
c'est les relations.
Les autres nous
amènent de
de l'énergie.
On le voit
dans cette rencontre
avec notre crash
test de l'effet 110.
La communication
est systémique.
On s'amène tous les
deux notre énergie.
Tu as vu ?
C'est une sorte
de tango.
Et tu l'as démontré
d'ailleurs.
On peut faire
une aparté là-dessus
que lorsqu'on
discute avec
quelqu'un
et lorsqu'on est
en phase, nos cœurs,
qu'est-ce qui se
passe avec le cœur ?
Qu'est-ce qui se
passe avec
les battements ?
Qu'est-ce qui se
passe avec
le souffle ?
On est synchrone.
Exactement,
on est synchrone.
Deuxième point,
c'est les relations.
Trois,
c'est d'avoir
un travail qui
vous passionne.
Vous voyez,
je n'ai pas encore
parlé d'argent
sur la richesse.
Là, on est en train
de travailler.
Finalement,
c'est du plaisir,
mais un travail qui
vous fait vibrer.
Je ne parle pas
du travail
alimentaire que vous
allez avoir pendant
un an, deux ans,
trois ans,
temporaire.
Et le quatrième
point, oui,
en effet,
c'est l'argent.
Mais de dire
que l'argent n'est
pas important.
Je vais vous dire
un truc,
je vais mettre
un autre pied
dans le plat.
Si tu rencontres
quelqu'un dans ta
vie
qui te dit: L'argent
n'est des pas
important,
tu dois entendre:
J'ai échoué.
J'ai échoué.
J'ai échoué
dans l'art
et la manière
de m'occuper de mes
parents qui
vieillissent.
J'ai échoué
dans l'art
et la manière
de payer des études
à mes enfants parce
qu'ils le
méritaient.
Et peut-être
que certaines écoles
auraient été
intéressantes.
Et souvent,
les gens qui vous
disent: L'argent
n'est pas important,
vont rajouter
ensuite: Écoute,
moi, j'ai galéré.
Mes enfants,
ils ont cas à s'en
occuper aussi.
Souvent, on retrouve
cet égoïsme-là.
Donc l'argent,
c'est une énergie.
Et j'ai aimé
ta définition.
Si on devait finir
maintenant sur Quels
ont été tes derniers
effets 110 dans ta
vie ou quelques
principaux effets
110 dans ta vie
qui ont changé
un parcours et
qui ont amené
à une prudence
de déficium
radicalement
différente ?
On est tous
confrontés
au temps qui passe.
D'abord, le plaisir,
c'est que ce que je
faisais avant
en 10h00,
je le fais en 1h00.
Donc, je vais
beaucoup plus vite
qu'avant
de bien choisir
ce qui a du sens.
Et également
de choisir
ce qui me rend
vraiment heureux.
Et ça fait une
vie formidable.
Donc, j'en conclus
que tu es heureux
d'être avec nous
aujourd'hui.
Mais sinon, je ne
serais pas venu.
Et enfin,
qu'est-ce que ça
veut dire pour toi
vivre à 110% ta
définition
du docteur Salman ?
Tendre
d'un effort
ininterrompu
vers la plus haute
forme de
l'existence.
Merci Frédéric
Salman.
C'était un vrai
bonheur.
Est-ce que tu crois
qu'on a passé
le crash test
de l'effet 110 ?
Au-delà.
Merci beaucoup
Frédéric.
Les amis,
on vous met le lien
si vous ne l'avez
pas encore reçu.
Ça devient
un véritable
phénomène mondial
et ça devient
finalement
par lui-même
une référence
du coaching.
Merci mille fois,
c'est grâce à vous.
Merci aussi de nous
donner tous vos
témoignages parce
que cette entrevue,
je l'ai préparée
avec vos
commentaires.
Ça nous fait vibrer
de savoir que vous,
vous passez
à une étape
supérieure
pour votre carrière,
vos affaires
et votre vie privée.
L'effet 110,
j'aime bien cette
maxime: soyons
des leaders actifs,
des raisonnables
et inspirants pour
un monde meilleur.
À bientôt.
Merci encore
Frédéric.
Merci.